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dimanche 12 août 2012

12082012 QUOI DE NEUF ?

LES JEUX OLYMPIQUES SONT FINIS, C'ETAIT BIEN MAIS ON VA MAINTENANT ENTENDRE PARLER DE CHOSES SERIEUSES

 

 

HUMOUR......ENCORE QUE......


PSG

 

 

 

POLITIQUE

Syrie  : pilonnage intense sur Alep

Les forces armés syriennes continuaient à pilonner dimanche matin plusieurs quartiers d'Alep, la grande ville du nord de la Syrie et enjeu crucial du conflit

Les forces armés syriennes continuaient à pilonner dimanche matin plusieurs quartiers d'Alep, la grande ville du nord de la Syrie et enjeu crucial du conflit, ainsi que des localités de la province de Damas, a affirmé à l'AFP l'Observatoire syrien des Droits de l'Homme (OSDH). A Alep, deuxième ville du pays où les combats font rage depuis le lancement le 8 août d'une offensive terrestre par l'armée de Bachar al-Assad, les forces régulières pilonnaient les quartiers de Chaar, Tariq al-Bab, Hanano, Boustane al-Qasr et Salaheddine, secteur emblématique des insurgés où des accrochages ont lieu, selon l'OSDH. Dans la province d'Alep, la localité de Haridelle étaient bombardée alors qu'à Al-Safira, un colonel de l'armée a été tué par des rebelles, d'après cette organisation basée en Grande-Bretagne et qui tire ses informations sur place d'un réseau de militants et de témoins.




le groupement medical francais pour les refugies syriens est operationnel

Le groupement médico-chirurgical déployé par la France pour venir en aide aux réfugiés syriens est arrivé tôt dimanche matin à Zaatari, à la frontière jordano-syrienne, et est désormais opérationnel, a indiqué à l'AFP le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Le groupement médico-chirurgical déployé par la France pour venir en aide aux réfugiés syriens est arrivé tôt dimanche matin à Zaatari, à la frontière jordano-syrienne, et est désormais opérationnel, a indiqué à l'AFP le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
Le groupement médico-chirurgical déployé par la France pour venir en aide aux réfugiés syriens est arrivé tôt dimanche matin à Zaatari, à la frontière jordano-syrienne, et est désormais opérationnel, a indiqué à l'AFP le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
"Le groupement médico-chirurgical militaire français est opératoire" et "permet désormais de soigner les réfugiés et les combattants blessés lors des combats qui les opposent à l'armée de Bachar al-Assad", a déclaré le ministre.
Le groupement a notamment été déployé à proximité d'un centre d'intervention du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et d'une unité médicale d'urgence marocaine.
M. Le Drian a souligné "la grande rapidité de mise en oeuvre" du groupement médical français, dont le président François Hollande avait demandé le déploiement le 6 août, à l'initiative du ministre de la Défense.
"Les premiers blessés seront soignés aujourd'hui" (dimanche), a-t-il souligné.
L'unité médicale française regroupera environ 80 militaires, dont 25 membres du personnel médical - chirurgiens, anesthésistes, infirmiers... -. Elle permettra de réaliser une dizaine d'actes chirurgicaux par jour, les médecins devant notamment prendre en charge des personnes blessées par balles lors des combats.
La Jordanie accueille actuellement plus de 150.000 réfugiés syriens, dont environ 6.000 au camp de Zaatari, administré par l'ONU, dans le nord du pays.
L'équipe française travaille "en étroite concertation" avec le centre médical d'urgence marocain déjà en place, a-t-on souligné.
Des "compléments civils" devraient être acheminés dans les jours qui viennent "pour permettre à la France de compléter son aide humanitaire auprès des réfugiés", a indiqué M. Le Drian.
Samedi à Varces (Isère), le président Hollande "a redit avec force le soutien de la France à l'opposition syrienne", a-t-il rappelé, soulignant que "la France mène aujourd'hui à la fois l'action diplomatique et la solidarité humanitaire".
"Il a dit qu'il n'y avait pas de répit pour l'initiative diplomatique et qu'il fallait aboutir à une solution politique", a souligné M. Le Drian.
Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, doit se rendre à partir de mercredi dans plusieurs Etats de la région, avant une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à la situation en Syrie programmée le 30 août. M. Fabius visitera à cette occasion l'unité d'urgence médicale française.
Au delà de l'aide médicale, "nous soutenons la résistance syrienne essentiellement par l'apport de moyens militaires non létaux, autour des moyens de communication", a précisé le ministre de la Défense.
Le gouvernement et le chef de l'Etat ont été critiqués cette semaine par l'UMP pour leur attentisme supposé sur le dossier syrien.






Syrie: la rébellion résiste à Alep, report d'une réunion arabe

Par , publié le
ALEP (Syrie) - Les rebelles opposaient dimanche une résistance farouche aux troupes du régime à Alep, bombardée sans relâche, de même que dans d'autres villes de Syrie ensanglantées par les violences.
Syrie: la rébellion résiste à Alep, report d'une réunion arabe
Des rebelles syriens à un checkpoint à l'entrée d'Azaz, au nord d'Alep, le 11 août 2012
afp.com/Phil Moore

Une réunion ministérielle arabe censée porter sur ce conflit dévastateur, qui dure depuis près de 17 mois, et prévue à Jeddah en Arabie saoudite, a été reportée sine die sans explications de la Ligue arabe.
Quatre jours après avoir lancé son offensive terrestre pour déloger les rebelles d'Alep, les chars et les avions de combat du régime de Bachar al-Assad continuent de pilonner plusieurs quartiers de cette métropole du Nord, dont le contrôle est un enjeu crucial de la guerre.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les quartiers Chaar, Tariq al-Bab, Hanano, Boustane al-Qasr et Salaheddine, secteur emblématique des insurgés où des combats ont lieu, sont la cible des violents tirs d'artillerie par l'armée.
Les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL, formée de déserteurs et de civils ayant pris les armes) ont affirmé avoir repris à l'armée des positions "stratégiques" à Salaheddine après que l'armée a dit contrôler totalement le quartier mercredi.
Selon le journal officiel Al-Watan, la voie vers le quartier al-Sukkari, deuxième bastion en importance des rebelles, "est désormais ouverte pour l'armée qui a pris le contrôle de plusieurs axes lui permettant de le prendre d'assaut".
Les communications sont entièrement coupées avec la ville et il n'était pas possible de joindre des militants sur place.
Des tirs ont été en outre entendus à Damas alors que les localités proches d'Al-Tal et de Harista étaient bombardées, d'après l'OSDH, une ONG basée en Grande-Bretagne qui tire ses informations d'un réseau de militants et de témoins.
Un journaliste de l'agence officielle syrienne Sana, Ali Abbas, a été assassiné samedi soir à son domicile dans la province de Damas, ont précisé l'agence et l'OSDH.
Exécution sommaire
Plus au nord, à Homs, des soldats aidés de miliciens ont "exécuté" dix jeunes dans le quartier Chamas où ils sont entrés après plusieurs heures de pilonnage, selon le Conseil national syrien, principale coalition de l'opposition.
Les victimes ont été choisies parmi une foule de 350 personnes rassemblées sur une place, affirme le CNS qui dit craindre un "terrible massacre". Cette information ne pouvait être confirmée de source indépendante.
Des accrochages avaient lieu par ailleurs dans la province de Deraa (sud), berceau de la révolte déclenchée en mars 2011 contre le régime Assad, dont la famille gouverne le pays d'une main de fer depuis quatre décennies.
Mais cette contestation d'abord pacifique s'est militarisée au fil des mois face à la répression menée par le régime, qui a choisi d'écraser la révolte assimilée à du "terrorisme", au prix de plus de 21.000 morts selon l'OSDH, de dizaines de milliers de réfugiés et de centaines de milliers de déplacés.
Et comme tous les jours, le lot des morts se compte par dizaines. Samedi, près de 150 personnes en majorité des civils ont péri, a précisé l'OSDH. Dimanche 8 personnes sont mortes, selon un bilan provisoire de cette ONG.
L'escalade est alimentée par l'impuissance de la communauté internationale à s'accorder sur les moyens de régler le conflit, les Occidentaux et certains pays arabes d'un côté appuyant la rébellion et réclamant un départ de M. Assad, et les Russes et les Iraniens refusant tout changement de régime par la force.
Report d'une réunion arabe
La "réunion d'urgence" des ministres arabes des Affaires étrangères, annoncée pour dimanche, afin de discuter du remplacement du médiateur international Kofi Annan, a été reportée sine die, a annoncé le numéro deux de la Ligue arabe, Ahmed Ben Helli.
M. Annan a démissionné après l'échec de ses efforts de paix dû en partie selon lui aux divergences persistantes au sein du Conseil de sécurité de l'ONU. Selon des diplomates à l'ONU, le diplomate algérien Lakhdar Brahimi est pressenti pour lui succéder, mais ce dernier n'a toujours pas donné sa réponse.
Par contre, les chefs de la diplomatie des six monarchies du Golfe (Arabie saoudite, Oman, Koweït, Emirats arabes unis, Qatar, Bahreïn), tiendront en soirée à Jeddah une réunion sur la crise syrienne.
Elle interviendra avant un sommet islamique mardi dans le royaume à l'initiative du roi Abdallah d'Arabie saoudite qui cherche à mobiliser le monde musulman en faveur du soulèvement en Syrie.
Alors que le flux de réfugiés croît chaque jour davantage, 80 tonnes d'aide envoyées par la France doivent être distribuées aux dizaines de milliers de Syriens installés dans un camp à la frontière jordano-syrienne.
Par






Egypte : le président Morsi reprend la main face à l'armée

Mohammed Morsi, président de la République Egyptienne.
Mohammed Morsi, président de la République Egyptienne. ( © AFP Odd Andersen)
Le président égyptien Mohamed Morsi a créé la surprise dimanche en annonçant l’annulation d’une «déclaration constitutionnelle» accordant de larges pouvoirs à l’armée et la mise à la retraite du maréchal Hussein Tantaoui, ministre de la Défense depuis 20 ans. D’après son porte-parole, M. Morsi a également nommé un vice-président, le juge Mahmoud Mekki, qui sera seulement la deuxième personne à occuper ce poste en plus de 30 ans.
«Le président a décidé d’annuler la déclaration constitutionnelle adoptée le 17 juin» par le Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui dirigeait à l'époque le pays et dans laquelle les militaires s’arrogeaient notamment le pouvoir législatif, a annoncé le porte-parole du président, Yasser Ali, dans une déclaration télévisée.
Les Frères musulmans, dont est issu le président Morsi, avaient dénoncé cette «Déclaration constitutionnelle complémentaire» comme «un coup d’Etat institutionnel» du CSFA, dirigé par le maréchal Tantaoui, visant à limiter les prérogatives présidentielles. La «déclaration» avait été adoptée le jour de la fin du second tour de l'élection présidentielle et avait provoqué une crise politique entre l’armée et les islamistes.
Avec le pouvoir législatif, les généraux gardaient un droit de veto sur toute nouvelle loi ou mesure budgétaire et se réservaient aussi un droit de regard sur la rédaction de la future Constitution, le texte fondamental en vigueur sous M. Moubarak ayant été suspendu.

Tantaoui retraité d'office

M. Morsi a également décidé dimanche de mettre à la retraite le maréchal Tantaoui et l’a remplacé au ministère de la Défense par le général Abdel Fattah al-Sissi, le chef des renseignements militaires. Il n'était toutefois pas encore clair si le maréchal, ministre de la Défense de Hosni Moubarak pendant une vingtaine d’années, restait toujours chef du CSFA.
Le chef d'état-major de l’armée et No2 du CSFA, Sami Anan, a également été mis à la retraite, et remplacé par le général Sedki Sobhi. MM. Tantaoui et Anan ont toutefois tous deux été nommés conseillers auprès du président Morsi, selon les médias officiels.

Entre bras de fer et compromis

Le nouveau vice-président, Mahmoud Mekki, est un magistrat qui a joué un rôle dans la fronde des juges en 2005 contre la fraude électorale pendant le scrutin présidentiel qui s'était terminé par une victoire écrasante de Hosni Moubarak, finalement renversé par une révolte populaire le 11 février 2011. Il s’agit seulement du deuxième vice-président égyptien en 30 ans. Hosni Moubarak n’avait jamais nommé de vice-président jusqu'à la révolte de février 2011, et pendant laquelle il avait nommé son chef des renseignements Omar Souleimane à ce poste.
M. Morsi, formellement investi le 30 juin, est le premier civil à accéder à la magistrature suprême, dans un pays où tous les présidents sont venus de l’armée depuis la chute de la monarchie en 1952. Depuis son accession au pouvoir, il a alterné compromis et bras de fer avec l’armée pour tenter de s’imposer.
(AFP)







DIVERS

Séismes en Iran. 250 morts, le bilan s'alourdit, les secours s'organisent

Après les deux séismes meutriers, il reste de nombreuses victimes sous les décombres.

Les villageois et secouristes s'activent ce dimanche à déblayer à l'aide de pelles les décombres pour trouver d'éventuels survivants aux deux séismes dans lesquels 250 personnes ont été tuées et plus de 2000 blessés samedi dans le nord-ouest de l'Iran.
Deux secousses très rapprochées
La plupart des maisons construites en briques ou en terre ont été détruites par les deux séismes qui ont frappé à dix minutes d'intervalles seulement la région montagneuse de Varzeghan, à une soixantaine de kilomètres au nord-ouest de Tabriz.
Depuis, plus de 55 répliques de moindre importance ont frappé la région.
Dans le petit village de Bajé-Baj où vivent un peu plus de 400 personnes on compte déjà 33 morts en majorité des femmes et des enfants. Les corps sont regroupés à l'extérieur.
Les secours s'organisent difficilement
Les équipes de secours et celles du Croissant rouge sont sur place depuis la veille. Tentes, couvertures, vêtements, nourriture et eau sont distribués aux sinistrés. L'aide continue à affluer. Aux premières heures du matin, le trafic augmente sur les routes montagneuses de la région avec de nombreux secouristes et de véhicules transportant de l'aide pour les habitants de la région.
Des ambulances circulent sur les routes de la région pour emmener les blessés.
Le bilan s'alourdit
Selon Khalil Saie, chef du Centre des catastrophes naturelles de l'Azerbaïdjan oriental, le «bilan est désormais de 250 morts et 2000 blessées». Un bilan provisoire qui pourrait augmenter vu l'intensité des secousses.
«Douze villages ont été détruits à 100% dans la région de Varzeghan. Chacun avait entre 900 et 1000 habitants et 40% d'entre eux ont été tués», a déclaré Moharam Foroughi, le préfet de la région, cité par des médias locaux. Mais pour l'instant, il n'y a aucune confirmation d'un tel bilan.
Le ministre de l'Intérieur, Mohammad Najar s'est rendu sur place dimanche matin avec la ministre de la Santé et le chef du Croissant-Rouge«pour évaluer la situation et organiser les opérations».
Les femmes et les enfants premiers touchés
Les deux séismes d'une magnitude de 6,2 et 6, dont les épicentres se trouvaient respectivement à Ahar et Varzeghan, ont frappé la région entre 13 h et 14 h (heure de Paris).
La plupart des hommes travaillaient dans les champs au moment de la catastrophe alors que les femmes et les enfants étaient à la maison, ce qui explique qu'ils contituent l'essentiel des victimes.
Les maisons ont tremblé aussi à Tabriz, et les habitants, terrifiés, ont accouru dans les rues. Mais il n'y a pas eu de mort dans cette grande ville.
Le souvenir de Bam
L'Iran est situé sur plusieurs failles sismiques importantes et a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs.
Le séisme le plus meurtrier ces dernières années a tué 31 000 personnes, soit un quart de la population, dans la ville de Bam (sud) en décembre 2003.
Par ailleurs, des tirs ont été entendus dans la capitale alors que les localités d'Al-Tal et de Harista, dans la province de Damas, étaient bombardées. Dans la province de Deraa (sud), des accrochages avaient lieu dans les localités de Basra, al-Naima, Tafas et près d'un aéroport militaire, toujours selon l'OSDH.
Au moins 148 personnes, dont 85 civils, ont péri samedi à travers le pays selon un bilan invérifiable de l'OSDH, qui fait état de plus de 21.000 morts depuis le début de la révolte contre le régime en mars 2011.






La sélection scientifique de la semaine


 Le directeur général de la FAO demande aux Etats-Unis de suspendre leur production d'agrocarburants faits à partir de maïs pour éviter une crise alimentaire dans certains pays, en raison des fortes tensions sur les cours des matières premières agricoles.
- Aux Etats-Unis toujours, et ce n'est pas sans rapport avec ce qui précède, le mois de juillet a été le plus chaud depuis que les enregistrements des températures existent.
- Près du quart de l'humanité vit dans des régions où l'eau souterraine est surexploitée.
- Le rover de la NASA Curiosity s'est posé sur Mars sans encombre, il a envoyé ses premières images, tout le monde en a parlé (j'ai très souvent constaté que les journaux sont toujours heureux de remplir leurs vides colonnes estivales avec de la science, mais moins le reste de l'année...), etc. Et si, maintenant, on attendait les premiers résultats scientifiques ?
- De nouveaux fossiles découverts au Kenya montrent la diversité des premiers représentants du genre Homo : au moins deux autres espèces cohabitaient avec Homo erectus il y a 2 millions d'années.
- Une ancienne chercheuse de l'Inserm, spécialiste des cancers professionnels, refuse la Légion d'honneur pour mieux se faire entendre.
- Cinq cartons de notes. C'est le trésor oublié d'Alexandre Grothendieck, mathématicien de génie retiré du monde depuis près d'un quart de siècle.
- Quelques rares personnes développent d'elles-mêmes une immunité contre la rage !
- L'ADN contenu dans l'ivoire, un nouvel outil pour localiser le braconnage des éléphants.
- Si vous voulez vous mettre au même régime que les chimpanzés, voici le menu...
- Imprimez-moi un téléphone portable !
- Saurez-vous retrouver la bonne orientation de quelques toiles d'art abstrait ?
- Pourquoi le figuier mâle se parfume en femelle...
- Pour finir, un immense radeau de pierres ponces, presque aussi grand que la Belgique, dérive dans l'océan Pacifique.
Pierre Barthélémy (@PasseurSciences sur Twitter)






ECONOMIE

Agenda de l'industrie : semaine du 13 au 17 août

Par  - Publié le  
Hamac
© fabvirge - Flickr - C.C
La semaine s'annonce calme sur la côte industrielle. Elle est émaillée par un jour férié mercredi, jour où sera révélé le classement de Shangai des meilleurs universités mondiales.
Lundi 13 août
La rédaction n'a pas répertorié d'événement à ce jour
Mardi 14 août
Economie - L'Insee publie sa première estimation de la croissance au deuxième trimestre 2012, un chiffre très attendu par le gouvernement et par les marchés. Au premier trimestre, on a observé une stagnation de l'économie française après la croissance de 1,7% en 2011.
Energie - Le groupe allemand RWE doit présenter ses résultats semestriels.
Mercredi 15 août
Education - Shanghai publie le classement des meilleures universités mondiales.
Jeudi 16 août
Aéronautique - Boeing livre son premier 787  Dreamliner à la compagnie nationale éthiopienne à l’aéroport d’Addis Abeba.
Numérique - Comme le précise la loi, 91 jours après l'introduction en bourse du géant Facebook, les employés, dirigeants et administrateurs de l'entreprise peuvent vendre leurs actions. Près de 268 millions d'actions qui pourront potentiellement être revendues par leurs propriétaires ce jour.
Energie - Des représentants des autorités chargées de la sécurité nucléaire des pays se réunissent à Bruxelles pour "un échange d'informations" après les fissures découvertes le réacteur numéro 3 de la centrale nucléaire de Doel. Il s'agira d'une "réunion technique", a insisté l'agence belge.
Vendredi 17 août
La rédaction n'a pas répertorié d'événement à ce jour


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