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dimanche 16 septembre 2012

16092012 QUOI DE NEUF ?

HUMOUR......ENCORE QUE......







INSURRECTION














POLITIQUE

Film anti-islam : 150 interpellations à Paris


Plus d'une centaine de personnes ont été interpellées devant l'ambassade des Etats-Unis et devant le ministère de l'Intérieur.
Plus d'une centaine de personnes ont été interpellées devant l'ambassade des Etats-Unis et devant le ministère de l'Intérieur. © REUTERS


Près de 150 personnes ont été interpellées dans l'après-midi devant l'ambassade américaine.
C'est la première fois que cela arrive dans une capitale occidentale. Quatre jours après l'indignation du monde arabe contre un film sur Internet et les violences qui s'en sont suivies, une manifestation non autorisée a eu lieu samedi après-midi devant l'ambassade américaine à Paris. Des musulmans, pour certains voilés, ont prié ensemble. Ils ont été évacués par la police en bus.
Selon la préfecture de police, un total de 150 personnes ont été interpellées puis conduites dans des commissariats pour vérification d'identité. Un ou deux manifestants ont été placés en garde à vue pour outrage et violences sur des fonctionnaires, a ajouté une source judiciaire.



Les réseaux sociaux en point de départ

La manifestation non déclarée, qui a réuni plus de 200 personnes selon la Préfecture de police, a débuté vers 16H30, "aux alentours de l'ambassade des Etats-Unis", a expliqué une source policière. Ils "ont été maintenus au niveau des Tuileries" mais "des petits groupes se sont ensuite éclatés" notamment en direction de la place Beauvau toute proche, adresse du ministère de l'Intérieur, où d'importantes forces de police étaient présentes, notamment en raison des Journées du patrimoine.
C'est un SMS, envoyé à des centaines de jeunes musulmans, qui serait à l'origine de ce rassemblement. Le message appelait à manifester contre le film parodique sur l'islam qui a déjà causé des troubles au Proche-Orient. Selon une source policière, des appels à manifester avaient été repérés dans la journée sur les réseaux sociaux, certains avec une "tonalité salafiste".

Le CFCM et la Mosquée de Paris réagissent

En début de soirée, une dizaine de personnes dont certains vêtus à la manière des Tablighs, restaient encerclées par les forces de l'ordre près de la place de la Concorde, tandis qu'une autre dizaine attendait qu'ils soient libérés, sans slogan ni banderole.
Le président du Conseil français du Culte musulman (CFCM) Mohamed Moussaoui a déploré cette manifestation et a appelé à "ne pas associer l'ensemble des musulmans de France à des événements marginaux comme celui-ci". Le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, qui s'exprimait sur I-Télé, a jugé "assez grave" que des salafistes aient "réussi à mobiliser quelques centaines de personnes" à Paris.












Washington évacue ses personnels non-essentiels de Tunisie et du Soudan

Des soldats tunisiens gardent l'entrée de l'ambassade américaine à Tunis le samedi 15 septembre. 
Des soldats tunisiens gardent l'entrée de l'ambassade américaine à Tunis le samedi 15 septembre. | AFP/FETHI BELAID

Les Etats-Unis ont ordonné samedi l'évacuation de tous leurs personnels non-essentiels de Tunisie et du Soudan et ont déconseillé aux citoyens américains de se rendre dans ces pays, a annoncé le département d'Etat.
Victoria Nuland, porte-parole du département d'Etat a déclaré qu'"étant donné la situation en termes de sécurité à Tunis et à Khartoum, le département d'Etat a ordonné le départ de toutes les familles et de tous les personnels non-indispensables de ces deux postes, et a publié parallèlement des avertissements déconseillant aux citoyens américains de voyager" dans ces pays.

  • Dispositif de protection habituel devant l'ambassade américaine à Paris
Devant l'ambassade américaine à Paris samedi 15 septembre.  
Devant l'ambassade américaine à Paris samedi 15 septembre. | AFP/KENZO TRIBOUILLARD

L'ambassade des Etats-Unis à Paris, cible samedi d'une manifestation non déclarée contre le film islamophobe qui a embrasé le monde musulman, se trouvait dimanche matin protégée par le dispositif habituel de gendarmerie mobile.
Comme d'habitude, une demi-douzaine de véhicules et une bonne vingtaine de gendarmes mobiles étaient disposés en face de l'entrée de l'ambassade avenue Gabriel (VIIIe).
Des manifestants contre le film islamophobe brulent un drapeau américain à Karachi au Pakistan, le 15 septembre. 
Des manifestants contre le film islamophobe brulent un drapeau américain à Karachi au Pakistan, le 15 septembre. | AFP/RIZWAN TABASSUM
La branche yéménite du réseau extrémiste a appelé à mener de nouvelles manifestations et à tuer des diplomates américains dans les pays du monde arabe. "Ceux qui croisent des ambassadeurs ou des émissaires américains doivent suivre l'exemple des descendants d'Omar Al-Moukhtar (les Libyens) qui ont tué l'ambassadeur américain", déclare le groupe. Sur son site internet, Al-Qaida dans la péninsule arabique appelle les musulmans à se débarrasser des ambassades américaines comme un moyen de se libérer de l'"hégémonie" des Etats-Unis.
  • Nouveau bilan dans l'attaque d'une base américaine en Afghanistan
Des images obtenues par AP montrant la fumée s'échappant du camp Bastion après l'attaque des talibans.  
Des images obtenues par AP montrant la fumée s'échappant du camp Bastion après l'attaque des talibans. | AP/Uncredited

Six avions de combat américains ont été détruits et deux ont été endommagés "de façon significative" lors de l'attaque des talibans dans la nuit de vendredi à samedi contre la base en Afghanistan où est stationné le prince Harry, a annoncé dimanche la force de l'Otan (Isaf).
Les dégâts contre le camp Bastion, dans la province du Helmand (sud), sont encore plus importants qu'on le pensait, trois postes de ravitaillement ayant également été détruits et six hangars d'avions ayant été atteints, selon un communiqué.
Jamais de telles pertes matériels n'avaient été infligées en dix ans de conflit en Afghanistan aux forces de la coalition, a reconnu une source sécuritaire occidentale.
Deux marines américains ont été tués dans l'attaque menée contre la base dans laquelle est stationné le prince Harry et neuf autres membres de la coalition( (huit militaires et un civil) ont été blessés, selon le nouveau bilan de l'Isaf.
Par ailleurs, une autre attaque a eu lieu dans le sud du pays. Des hommes portant des uniformes de la police afghane ont retourné leurs armes contre des membres de l'ISAF, la force de l'OTAN en Afghanistan, tuant quatre soldats étrangers dans le sud du pays.
  •  Le Bangladesh condamne une "incitation à la haine"
Des islamistes lors d'une manifestation à Dacaa vendredi 14 septembre. 
Des islamistes lors d'une manifestation à Dacaa vendredi 14 septembre. | AFP/MUNIR UZ ZAMAN
Le Bangladesh, où des milliers de manifestants ont brûlé vendredi à Dacca des drapeaux américains et israéliens, a estimé dimanche que le film islamophobe qui a embrasé le monde musulman constituait une "incitation à la haine".
"Innocence of Muslims", film amateur à petit budget réalisé aux Etats-Unis qui "dénigre l'islam et le prophète Mahomet" est "non seulement insultant mais aussi répréhensible", a déclaré le ministère bangladais des Affaires étrangères dans un communiqué.

"Le Bangladesh s'inquiète du fait que certains aient essayé de défendre un matériel aussi insultant au prétexte de la liberté d'expression. L'incitation à la haine ne peut être justifiée au nom de la liberté d'expression", a-t-il ajouté.









Paris : dispositif de protection devant l'ambassade américaine

Une demi-douzaine de véhicules et une bonne vingtaine de gendarmes mobiles étaient disposés en face de l'entrée de l'ambassade

Une manifestation sauvage pour dénoncer le film anti-islam s'est déroulé samedi 15 septembre près de l'ambassade américaine et du ministère de l'Intérieur à Paris. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
Une manifestation sauvage pour dénoncer le film anti-islam s'est déroulé samedi 15 septembre près de l'ambassade américaine et du ministère de l'Intérieur à Paris. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
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L'ambassade des Etats-Unis à Paris, cible samedi d'une manifestation non déclarée contre le film islamophobe qui a embrasé le monde musulman, se trouvait dimanche 16 septembre au matin protégée par le dispositif habituel de gendarmerie mobile, a constaté un journaliste de l'AFP.
Comme d'habitude, une demi-douzaine de véhicules et une bonne vingtaine de gendarmes mobiles étaient disposés en face de l'entrée de l'ambassade avenue Gabriel, dans le 7ème arrondissement.

150 personnes interpellés

Comme à l'accoutumée, les gendarmes mobiles demandaient aux passants de ne pas emprunter le trottoir qui longe l'ambassade américaine et les jardins de l'ambassade du Royaume-Uni en direction de l'Elysée, côté grille du Coq.
La seule activité inhabituelle pour un dimanche matin dans ce secteur était celle de centaines de personnes se rendant à pied vers l'Elysée pour visiter le palais et les jardins présidentiels, ouverts au public à partir de huit heures à l'occasion des journées du Patrimoine.
Quelque 150 personnes avaient été interpellées samedi en fin d'après-midi puis conduites dans des commissariats pour vérification d'identité, selon la Préfecture de police (PP), qui avait état de quatre policiers légèrement blessés. Un ou deux manifestants avaient été placés en garde à vue pour outrage et violences sur des fonctionnaires, selon une source judiciaire.











EXCLUSIF AFP - Colombie: les Farc se disent déterminées à mettre fin au conflit

Par
LA HAVANE - La guérilla des Farc se rendra à la table des négociations avec le gouvernement colombien le 8 octobre à Oslo avec la ferme intention de "mettre fin" au conflit armé, affirme Rodrigo Granda, un des cinq négociateurs nommés par la rébellion pour ces pourparlers historiques.
EXCLUSIF AFP - Colombie: les Farc se disent déterminées à mettre fin au conflit
Rodrigo Granda le 16 juin 2007 à Bogota
afp.com/Mauricio Duenas

"Ce que nous disons, c'est qu'il faut mettre fin à la guerre. C'est notre objectif", assure le responsable des Farc, de son vrai nom Ricardo Tellez, dans entretien accordé à l'AFP à La Havane.
Avant ces discussions prévues dès octobre en Norvège puis à Cuba, M. Tellez regrette toutefois que le président colombien Juan Manuel Santos ait refusé le principe d'un cessez-le-feu, n'envisageant une trêve qu'après un "accord final".
"Le gouvernement considère qu'un cessez-le-feu ou une trêve sont exclus. Nous disons qu'il s'agit d'un sérieux inconvénient, mais en même temps nous y sommes habitués". Dialoguer dans ces conditions "ressemble à un champ de mines", affirme le négociateur des Farc, généralement présenté comme le "ministre des Affaires étrangères" de la guérilla.
Autre frein potentiel à la bonne conduite des discussions selon lui, la perspective de l'absence aux pourparlers de Simon Trinidad, un guérillero emprisonné aux Etats-Unis où il a été extradé puis condamné à 60 ans de prison en 2008 pour l'enlèvement de trois civils américains en Colombie.
Les Farc l'ont nommé parmi les négociateurs, mais le président Santos a appelé le camp adverse à faire preuve de "réalisme", rappelant que la participation de Trinidad ne dépendait pas de la Colombie.
"Simon Trinidad doit être présent à la table de négociations, c'est l'un de nos commandants les plus importants", a affirmé M. Tellez.
"Il me semble que l'absence de Simon à cette table priverait le pays d'un des plus grands esprits que nous ayons en Colombie (...) c'est un guérillero, mais pas seulement, il est issu de la haute classe dirigeante colombienne", a insisté le responsable des Farc.
Les Farc ont plusieurs fois souligné que Trinidad, de son véritable nom Juvenal Ovidio Ricardo Palmera Pineda, pourrait éventuellement assister aux discussions par vidéoconférence.
A la veille de ce cycle de discussions, Tellez a fustigé la politique de l'ex-président conservateur colombien Alvaro Uribe (2002-2010), partisan d'une ligne dure contre les Farc, et demandé au président américain Barack Obama de cesser l'aide militaire à la Colombie. "En ce moment, la droite ultra est menée par M. Alvaro Uribe Velez, cet homme est un type totalement rancunier, c'est un psychopathe, un franc-tireur de la paix", a martelé M. Tellez, fustigeant ces "franges minoritaires très puissantes" obstinément opposées à la paix.
Le responsable a aussi reconnu et salué l'appui américain à la paix, mais a demandé aux Etats-Unis "une réduction drastique ou un arrêt total de l'aide militaire à la Colombie".
Le retrait de ses conseillers militaires et de ses bases en Colombie "constituerait le meilleur apport des Etats-Unis" à la paix, a-t-il poursuivi, assurant que "la guerre en Colombie (...) est le produit de l'intervention" des Etats-Unis, qui selon lui prétextaient dans les années 1960 de prévenir une révolution de type cubain.
Harcelée par une armée renforcée par l'aide militaire américaine, la principale rébellion de Colombie, issue voici 48 ans d'une insurrection paysanne, est passé de 20.000 combattants dans les années 1990, son âge d'or, à 9.000 aujourd'hui.
A moins d'un mois de cette quatrième tentative de dialogue entre les autorités et les Farc, M. Tellez a encore souligné que la date choisie du 8 octobre était forte en symbole, car elle correspond à celle de la mort en Bolivie du guérillero argentino-cubain Ernesto Che Guevara, en 1967.
Par









Xavier Bertrand renonce à l'UMP mais pas aux primaires de 2017

L'ancien ministre du Travail, qui a dirigé le parti de 2008 à 2010, affirme pourtant avoir recueilli suffisamment de parrainages.

Xavier Bertrand, qui a dirigé l’UMP entre 2008 et 2010, a annoncé dimanche qu’il n'était pas candidat à la présidence du parti en novembre, préférant se réserver pour la primaire pour la présidentielle de 2017 où il concourra, quels que soient les postulants, Nicolas Sarkozy compris.
«Je serai candidat à la primaire pour l'élection présidentielle de 2017. Et donc, c’est la raison pour laquelle je ne me lance pas dans la compétition pour la présidence de l’UMP», a déclaré l’ancien ministre du Travail lors de l'émission «Grand Rendez-vous» Europe 1/iTélé/Le Parisien, deux jours avant la date limite de dépôt des candidatures pour l'élection interne du 18 novembre.
«La victoire se jouera entre François Fillon et Jean-François Copé», a-t-il souligné en réaffirmant avoir réuni les quelque 8.000 parrainages d’adhérents UMP requis. Mais, a-t-il prévenu aussitôt, «celui qui sera élu à la tête de l’UMP ne sera en rien le candidat naturel pour la primaire de 2016 en vue de la présidentielle».
«Je suis candidat (en 2016) quelles que soient les circonstances», y compris si l’ancien président Nicolas Sarkozy revient dans le jeu, a martelé M. Bertrand à plusieurs reprises.
Venu dans les studios d’Europe 1 avec six caisses contenant, a-t-il dit, «8.200 parrainages» pour prouver qu’il avait bien les précieux sésames, Xavier Bertrand a refusé de prendre parti pour l’heure pour l’un ou l’autre des grands rivaux, François Fillon et Jean-François Copé.
«Je ne me cacherai pas pour voter, je dirai clairement pour qui je voterai», a assuré le député-maire de Saint-Quentin (Aisne), qui ne devrait toutefois rien indiquer de ses intentions avant le mois d’octobre.
(AFP)













ECONOMIE

Le plafond du Livret A relevé le 1er octobre

Le relèvement était annoncé pour la mi-septembre, il ne sera finalement pas effectif avant le 1er octobre... Il sera relevé une première fois de 25%, à 19.125 euros, puis une seconde, toujours de 25%, d'ici la fin de l'année.

Le plafond du livret A sera relevé en deux fois d'ici la fin de l'année © Fotolia.com Philippe Devanne
Des raisons techniques : c'est ainsi que l'on justifie le retard à l'allumage du Livret A. Son plafond aurait dû être relevé une première fois de 25%, à 19.125 euros, mi-septembre, puis une seconde fois de 25% également d'ici la fin de l'année.
Tout ceci a pris un peu de retard. Le décret officialisant les relèvements de plafond ne sera publié que la semaine prochaine au Journal officiel, et l'entrée effective est prévue pour le début du mois prochain.
Quant au Livret de développement durable, son plafond sera doublé, passant de 6.000 à 12.000 euros, en une seule fois, au 1er octobre.












DIVERS

Loïk Le Floch-Prigent, l'ex-PDG d'Elf, arrêté à Abidjan puis extradé au Togo

Loïk Le Floch-Prigent a passé une partie de la matinée de samedi dans un poste de police d'Abidjan, en Côte d'Ivoire. Avant d'être extradé à Lomé dans la soirée. Le Togo a délivré un mandat d'arrêt international à son encontre pour une affaire d'escroquerie.


Loïk Le Floch-Prigent, au procès Elf en 2001 © Reuters
Il était visé par un mandat d'arrêt international, délivré par le Togo, depuis 2011 : Loïk Le Floch-Prigent, l'ancien PDG d'Elf, a été arrêté samedi matin à Abidjan, alors qu'il se trouvait dans un avion. La police ivoirienne l'a entendu, comme témoin, une bonne partie de la journée, avant de l'extrader. Il est arrivé à Lomé dans la soirée, et transféré dans les locaux de la police nationale.
Son avocat, Me Patrick Klugman, parle d'une "affaire togolaise, à laquelle il se sent parfaitement étranger et qui, ces derniers jours, a pris un caractère éminemment politique". Et d'avertir : "nous sommes très inquiets de son état de santé car il doit subir une intervention médicale importante à Paris la semaine prochaine."

Un vaste réseau d'escroquerie

Que lui reproche-t-on ? D'être le conseiller personnel d'un ancien ministre togolais de l'Administration territoriale, Pascal Bodjona, inculpé le 12 septembre d'escroquerie. Un homme d'affaires émirati, Abbas El Youssef, l'a accusé d'avoir organisé un réseau pour lui soutirer 48 millions de dollars - la fortune du défunt président ivoirien Robert Gueï soi-disant bloquée sur un compte bancaire togolais... 
Une source judiciaire togolaise détaille : "selon Abbas El Youssef, M. Le Floch-Prigent était le conseiller personnel de Pascal Bodjona, et serait le chef d'orchestre dans cette affaire d'escroquerie".
Après avoir été à la tête des plus grandes entreprises françaises, et d'Elf notamment entre 1989 et 1993, Loïk Le Floch-Progent a été condamné en 2003 à cinq ans de prison. Agé de 69 ans, il est aujourd'hui consultant dans le pétrole.

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