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dimanche 2 septembre 2012

02092012 QUOI DE NEUF ?

POLITIQUE
Parti socialiste: Aubry doit choisir son favori pour lui succéder à la tête du PS
PARIS — Martine Aubry, qui doit bientôt passer la main au poste de premier secrétaire du PS, va choisir cette semaine, après en avoir discuté avec Jean-Marc Ayrault, le nom du candidat à sa succession, qui devrait être soit Harlem Désir, soit Jean-Christophe Cambadélis.
Le nom ne sera peut-être pas rendu public. Le jour exact n'est pas connu. Mais la patronne de Solférino depuis 2008 va trancher.
Après discussion avec Jean-Marc Ayrault, après avoir pris les "avis d'un certain nombre d'acteurs", selon un proche, elle dira quel est le premier signataire de la motion majoritaire qu'elle-même et le Premier ministre soutiendront en vue du Congrès de Toulouse de fin octobre.
Et ce nom sera celui de son successeur, à moins d'une surprise lors du processus de désignation du Premier secrétaire qui va démarrer le 12 septembre, jour où les motions seront entérinées, pour s'achever le 28 octobre, jour de clôture du Congrès.
Entre temps, il y aura un vote des militants, dans chaque section. Le 11 octobre, sur les motions. Le 18 octobre, sur les deux candidats en lice (en théorie les deux premiers signataires des deux premières motions). Lors de ces deux rendez-vous, il y a fort à parier que quatre mois après l'élection de François Hollande, les 175.000 adhérents du PS se prononceront pour la motion de soutien au gouvernement - donc la motion Aubry-Ayrault - et donc pour son premier signataire.
Le Congrès de Toulouse des 26, 27 et 28 octobre, sera donc la dernière étape: celle de la passation de pouvoir et de l'adoption de la feuille de route de la nouvelle équipe.
Deux prétendants "tiennent la corde" : Harlem Désir, numéro 2 du parti, et Jean-Christophe Cambadélis, député de Paris, aux profils très différents.
Le premier met en avant son parcours de militant ou encore son rôle pendant la primaire, lors de laquelle il était responsable par intérim, de la maison Solférino.
Selon le maire de Paris, Bertrand Delanoë, qui a pris parti pour lui vendredi, il est "équitable", a su, pendant son intérim, "prendre les problèmes difficiles quand ils se posaient" et est "un Européen convaincu mais un Européen de gauche".
Jean-Christophe Cambadélis, numéro 2 du PS avec Lionel Jospin en 1997, artisan de la "gauche plurielle", fait valoir sa capacité de rassemblement.
Pour le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, favorable à M. Cambadélis, "par son expérience de la gauche plurielle, Jean-Christophe a le savoir-faire" nécessaire pour traiter avec EELV ou le Front de gauche.
Lequel des deux pour la maison Solférino ? "Beaucoup de gens prétendent savoir et font circuler les bruits les plus divers", note un cadre socialiste, un autre estimant que "tout est ouvert".
Le sénateur Gaëtan Gorce est lui aussi sur les rangs, mais il est peu soutenu.
Reste que des critiques ont surgi ces derniers jours sur le caractère supposé peu démocratique du mode de désignation.
"Il y a une petite contradiction entre la manière dont on a vanté - à juste titre - la préparation des primaires", "la transparence, la morale qui doit être la nôtre et cette forme de désignation plus ou moins obscure", a relevé l'ex-député Julien Dray, qui a déposé un texte en juillet.
"On a voulu cadenasser pour empêcher que" le Congrès de Reims de 2008 "ne se reproduise. Mais là, on est dans une situation un peu ubuesque où les militants vont avoir à avaliser un choix fait par quelques-uns et on ne sait pas bien avec quelle règles", a-t-il regretté.
"On est passé d'une tragi-comédie, marqué par le foutoir et l'anarchie (le Congrès de Reims, ndlr), à un système complètement fermé, verrouillé ne suscitant pas l'avis de la base", a affirmé à l'AFP Rémi Lefebvre, universitaire à Lille, spécialiste du PS, jugeant qu'on n'est "pas loin de la régression démocratique".
Mme Aubry se défend, soulignant que son poulain irait "devant le vote des militants, bien évidemment !".









Municipales 2014 à Paris : Hidalgo favorite face à Fillon

La première adjointe de Bertrand Delanoë devrait annoncer officiellement sa candidature à la mairie de Paris cette semaine.
Anne Hidalgo (BISSON/JDD/SIPA)
Anne Hidalgo (BISSON/JDD/SIPA)

Une liste du Parti Socialiste et d'Europe Ecologie Les Verts (EELV) conduite par Anne Hidalgo l'emporterait largement aux municipales de 2014 à Paris face à une liste de l'UMP conduite par François Fillon, selon un sondage de l'Ifop sur les intentions de vote en prévision du scrutin, parue dans le "Journal du Dimanche", dimanche 2 septembre.
54% des personnes interrogées ont indiqué qu'il y aurait "plus de chances" qu'elles votent au second tour pour une liste PS/EELV conduite par Anne Hidalgo contre 46% pour une liste UMP conduite par François Fillon, selon ce sondage.
L'avance de la liste du PS menée par Anne Hidalgo apparaît dès le premier tour, puisqu'elle obtiendrait 36% des intentions de vote face à une liste de l'UMP ou soutenue par l'UMP et menée par François Fillon (33%). Elle obtiendrait 39% si la liste de l'opposition était conduite par Rachida Dati (26%) et 37% si cette liste de l'UMP ou soutenue par l'UMP était menée par Jean-Louis Borloo (29%).
48% des personnes interrogées regrettent enfin la décision de Bertrand Delanoë de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la mairie de Paris et 52% ne le regrettent pas.
Sondage réalisé du 28 au 30 août sur un échantillon de 800 personnes, représentatif de la population de la ville de Paris âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Au sein de cet échantillon, 692 personnes sont inscrites sur les listes électorales à Paris.












Etats-Unis: Obama et Romney à égalité dans les sondages
WASHINGTON — Le suspense reste entier dans une course à la Maison Blanche acharnée entre Mitt Romney, fraîchement investi par les républicains, et le sortant Barack Obama qui va tenter cette semaine de convaincre les Américains encore indécis qu'il mérite un second mandat.
Un peu plus de deux mois avant la présidentielle du 6 novembre, les sondages montrent une égalité quasi parfaite entre MM. Romney et Obama, ce dernier ayant vu fondre l'avantage qu'il détenait sur l'ancien gouverneur du Massachusetts il y a encore deux mois.
Reparti de Tampa (Floride, sud-est) avec l'investiture républicaine, M. Romney, selon la dernière livraison de la société Rasmussen samedi, est crédité de 47% des voix contre 44% à M. Obama. C'est la première fois que l'écart est aussi important en sa faveur.
Mais les résultats restent dans la marge d'erreur, et pourraient traduire le classique sursaut enregistré dans l'opinion après les conventions nationales, lors desquelles les candidats bénéficient d'une couverture médiatique importante et peuvent prononcer leurs discours sans contradicteurs.
Les démocrates vont à leur tour essayer de capter la lumière des projecteurs lors de leur grand rendez-vous de Charlotte (Caroline du Nord, sud-est) à partir de mardi, où sera déclinée l'idée-force de la campagne de M. Obama: la défense de la classe moyenne et la mise en relief des points les plus flatteurs du bilan du 44e président des Etats-Unis.
C'est ce bilan que M. Romney tente de discréditer aux yeux des électeurs, en particulier sa gestion économique, un argument qui a des chances de faire mouche dans un pays où le chômage stagne à 8,3% de la population active, contre 5% avant la récession de 2007-2009.
"Chaque président depuis la grande dépression (des années 1930) demandant aux Américains un second mandat a pu regarder quatre années en arrière et dire avec satisfaction: vous vous en sortez mieux qu'il y a quatre ans. Sauf Jimmy Carter (démocrate battu en 1980 après un seul mandat, NDLR), et sauf ce président", a lancé jeudi soir à Tampa M. Romney.
Le républicain martèle ce message sur les ondes, grâce à la force de frappe que lui confère un trésor de campagne bien mieux garni que celui des démocrates.
M. Obama, qui fait valoir qu'il a hérité d'une économie en chute libre et de comptes publics plombés par la gestion de son prédécesseur républicain George W. Bush, accuse M. Romney, un ancien entrepreneur multimillionnaire, de défendre un cocktail de réductions d'impôts pour les plus riches et de grignotage d'acquis sociaux remontant aux années 1930.
"Ce qu'ils ont proposé pendant trois jours a été un programme qui était sans doute mieux adapté au siècle dernier. Ils sont allés tellement en arrière qu'on aurait pu aussi bien regarder (la convention) sur des télévisions noir et blanc", a raillé samedi M. Obama dans l'Iowa (centre).
Alors que l'électorat semble déjà très polarisé et que la consultation se jouera vraisemblablement chez les 5 à 10% d'indécis selon les sondages, les chiffres mensuels du chômage tombant vendredi, au lendemain du discours d'investiture de M. Obama à Charlotte, risquent de peser lourd dans la balance.
Au-delà de l'économie, le président sortant, qui comme son adversaire parcourt de long en large les Etats susceptibles de faire pencher la balance en sa faveur, peut encore compter sur des fondamentaux solides.
Il bénéficie d'un net soutien au sein des minorités, notamment les dynamiques hispaniques. Les positions strictes des républicains sur les questions de société, comme l'avortement, risquent de leur coûter cher au sein de l'électorat féminin; et la cote de popularité personnelle du candidat républicain peine à décoller.
Après la convention de Charlotte s'engagera la dernière ligne droite de la campagne, ponctuée de trois débats télévisés, les 3, 16 et 22 octobre, lors desquels MM. Obama et Romney confronteront directement des arguments qui, jusqu'ici, ont surtout servi à conforter leurs camps respectifs.











Syrie: les rebelles ciblent l'armée de l'air

Par
TAFTANAZ (Syrie) - Les rebelles syriens ont multiplié les attaques contre les bases et appareils de l'armée de l'air, mais sans être en mesure de stopper samedi les bombardements des hélicoptères ou des chars sur plusieurs fronts.

Syrie: les rebelles ciblent l'armée de l'air
Des combattants de l'opposition syrienne à Alep le 29 août 2012
afp.com/Aris Messinis


Signe que le conflit s'est durci, près d'un an et demi après le début de la révolte contre le régime du président Bachar al-Assad, le mois d'août a été le plus sanglant avec près de 5.000 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Le jour de sa prise de fonctions officielle, l'émissaire international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a appelé sur la chaîne Al-Arabiya "toutes les parties à cesser la violence", tout en jugeant que le gouvernement assumait "une plus grande responsabilité" dans l'arrêt des hostilités.
Il n'a pas été aussi loin que le patron de l'ONU, Ban Ki-moon, qui a affirmé jeudi que la "responsabilité principale" de l'arrêt des violences incombait au régime de M. Assad, qui répète vouloir en finir avec les rebelles considérés comme des "terroristes à la solde de l'étranger".
Mais Moscou, un allié du pouvoir à Damas, a estimé qu'il était "naïf" de penser que le régime allait cesser le feu en premier.
Preuve en est, les chars de l'armée, qui encerclent la plupart des bastions rebelles dans plusieurs villes ou provinces à travers le pays, ont violemment bombardé samedi ces zones, théâtre en outre de combats, selon l'OSDH.
Dans un bilan provisoire fourni par cette organisation qui s'appuie sur un réseau de militants et de témoins, 60 personnes ont péri dans les violences à travers le pays, en majorité des civils dans et autour d'Alep (nord), Hama (centre), Deraa (sud), Idleb (nord-ouest) ainsi que dans la province de Damas.
Contrer la maîtrise du ciel
Les rebelles tentent de leur côté de contrer la maîtrise du ciel de l'armée, dont les bombardements provoquent chaque jour morts et destructions.
Vendredi soir, ils ont marqué des points en s'emparant du principal bâtiment d'une base aérienne à Boukamal (est), à la frontière irakienne, selon l'OSDH. Selon des informations qui n'ont pas pu être vérifiées par cette organisation, ils ont mis la main sur des missiles anti-aériens.
Toujours à Boukamal, les rebelles ont attaqué le bâtiment de la sécurité militaire ainsi que l'aéroport militaire de Hamdane.
Près d'Idleb (nord-ouest), les insurgés ont affirmé, après une attaque jeudi, tenir une partie de l'aéroport d'Abou el-Zouhour, l'un des deux plus important de la province.
Ils avaient attaqué mercredi l'autre aéroport, à Taftanaz, affirmant avoir détruit plusieurs appareils sans toutefois parvenir à prendre le contrôle du site.
Des hélicoptères de cette base ont continué samedi de survoler Taftanaz, vidée de la plupart de ses habitants depuis des semaines, en ouvrant le feu à plusieurs reprises, selon un journaliste de l'AFP. Ils tentaient de débusquer les rebelles dissimulés dans les habitations.
Seuls quelques-uns de ces combattants, en civils pour la plupart, circulent dans les rues, à pied ou à moto, et sans armes pour ne pas attirer l'attention, les yeux levés en permanence vers le ciel pour tenter de repérer la menace.
La base militaire est toujours sous contrôle des forces du régime, a constaté le journaliste de l'AFP depuis une position rebelle proche. Au moins une quinzaine de MI-17 et MI-24, redoutables machines de fabrication soviétique, sont toujours stationnées sur les pistes de l'aéroport.
"Nous avons tout perdu"
"L'attaque de l'aéroport a été un échec, elle n'avait pas été assez préparée", a expliqué à l'AFP Abou Omar, un chef rebelle de Taftanaz dont les hommes n'ont pas participé à l'assaut.
Un peu plus à l'est, armée et insurgés se livrent toujours une féroce bataille depuis plus d'un mois pour le contrôle d'Alep, métropole stratégique.
A Al-Bab, une base arrière rebelle à 30 km au nord-est d'Alep, les habitants gardaient eux aussi un oeil sur le ciel samedi par peur d'un nouveau raid, au moment où ils déblayaient les décombres après des frappes meurtrières, selon une journaliste de l'AFP.
"C'était ma maison, il n'en reste plus rien", expliquait Youssef al-Wati, un ingénieur, en escaladant un escalier s'élevant désormais dans le vide, tandis que des voisins l'aidaient à fouiller les décombres. "Nous avons tout perdu, pas seulement un peu, tout", soupirait sa femme, Oum Omar.
Aucune issue n'est en vue après plus de 17 mois de violences qui ont fait plus de 26.000 morts, en majorité des civils, selon un décompte de l'OSDH.
C'est une mission difficile qui attend le nouvel émissaire Brahimi, qui a d'ailleurs souligné qu'il ne pouvait pas la mener à bien "sans un appui total et clair du Conseil de sécurité" de l'ONU, profondément divisé sur la Syrie.
Par









SOCIAL

Afrique du Sud : le parquet suspend l'inculpation pour meurtre des grévistes de Marikana

Le Monde.fr avec AFP

Rassemblement à la mine Marikana, le 23 août, après les funérailles des victimes. 
Rassemblement à la mine Marikana, le 23 août, après les funérailles des victimes. | AFP/-

Le parquet sud-africain a annoncé, dimanche 2 septembre, qu'il allait suspendre l'inculpation pour meurtre de 270 grévistes arrêtés après la fusillades de la mine de Marikana le 16 août. Ces grévistes avaient été inculpés jeudi pour le meurtre de 34 de leurs camarades abattus par la police.

Cette inculpation quelque peu surréaliste se fondait sur une clause technique de la loi prévoyant que soient inculpées de meurtre toutes les personnes arrêtées sur le site d'une fusillade impliquant la police, que les victimes soient des policiers ou non.
Cette inculpation avait provoqué une vague d'indignation : le magistrat se serait appuyé sur une clause d'une loi antiémeute remontrant à 1956, et jamais réécrite depuis. Plusieurs juristes se sont dits surpris de l'utilisation d'une loi datant du régime de l'apartheid. Le ministre de la justice a, quant à lui, demandé des explications.
"L'inculpation pour meurtre des 270 suspects actuels, qui de toute façon était provisoire, va être provisoirement retirée par le tribunal lors de leur prochaine comparution", a déclaré le chef du parquet, Nomgcobo Jibo, lors d'une conférence de presse.









Le seuil des trois millions de chômeurs franchi

Le ministre du Travail Michel Sapin a indiqué que le seuil symbolique des 3 millions de demandeurs d'emploi sans activité en France était désormais franchi et devrait encore augmenter.
DR 
Encore une mauvaise nouvelle pour le gouvernement. Le ministre du Travail Michel Sapin a annoncé, ce dimanche, sur Radio J, que le seuil symbolique des 3 millions de demandeurs d'emploi sans activité en France était désormais franchi, ainsi que le taux de 10% de chômeurs.

« L'année prochaine quel sera le taux de chômage ? Personne ne le sait. Les 3 millions (ndlr, de demandeurs d'emplois sans activité) c'est déjà fait. Les chiffres que vous commentez, qui sont les chiffres du mois de juillet, sont aujourd'hui dépassés, on est en septembre. Ce n'est pas la peine de s'interroger sur 10%. C'est déjà fait », a déclaré le ministre du Travail à la radio.

Le nombre de demandeurs d'emploi sans activité en France métropolitaine avait augmenté pour le 15e mois consécutif en juillet, de 41.300 personnes, la plus forte hausse depuis plus de trois ans, pour atteindre 2,987 millions de personnes. Avec l'outre-mer, 4,733 millions de demandeurs d'emploi étaient recensés fin juillet, dont 3,232 millions sans aucune activité (catégorie A).

« D'ailleurs, l'outre-mer fait partie de la France, donc si vous prenez le chômage en outre-mer, vous avez dépassé les 3 millions et dépassé les 10%. Ne nous battons pas sur des symboles qui sont des symboles déjà dépassés », a d'ailleurs souligné le ministre.

« La question est : est-ce que cela va augmenter encore beaucoup? Oui, cela va augmenter. Est-ce qu'à un moment donné on peut l'inverser, oui on peut l'inverser. Ce sont des décisions économiques, ce sont des décisions européennes qui sont là », a-t-il ajouté.

« Il faut de la croissance pour pouvoir créer des emplois et ainsi lutter véritablement contre le chômage », a-t-il une nouvelle fois souligné.

SOURCE AFP











ECONOMIE

Agenda de l'industrie : semaine du 3 au 9 septembre

Par  - Publié le
Doux
© D.R. - Doux
Les mots-clés de cette première semaine de septembre : Doux, PSA, Fralib et CGT. L'heure du bilan a sonné pour un grand nombre d'entreprises qui présentent leurs résultats semestriels dans le courant de la semaine.
LUNDI 3 SEPTEMBRE
Economie - La Ratp, Séché Environnement et le spécialiste français de la correction auditive Audika annoncent leurs résultats semestriels.
Automobile - Tous les représentants CGT des usines PSA se réunissent au siège du syndicat pour déterminer une politique au niveau du groupe. On connaîtra également les chiffres des immatriculations du mois d'août.
Télécoms - Les clients de l'opérateur mobile Orange, victimes d'une panne géante le 6 juillet, bénéficieront d'une "journée gratuite" de communication qui a été fixée, selon les forfaits, entre le 3 et le 10 septembre.
MARDI 4 SEPTEMBRE
Automobile - Les délégués syndicaux centraux de PSA rencontrent le cabinet Secafi à qui ils ont demandé une expertise sur la situation financière du constructeur. Ce même jour, le travail reprend à l'usine d'Aulnay.
Economie - Présentation des résultats semestriels de BioMérieux, Akka et Jacquet Metal Service.
Agroalimentaire - Comité central d’entreprise de Doux, au cours duquel les syndicats ont prévu de se prononcer par rapport aux offres de reprise du site.
Energie - Le tribunal devra se prononcer sur les projets de reprise pour le site Petroplus Petit Couronne et sur l'issue de la période d'observation qui a été prolongée jusqu'au 24 septembre.
Aéronautique - Airbus présente ses prévisions de marché 2012-2013.
MERCREDI 5 SEPTEMBRE
Economie - Annonce des résultats semestriels du spécialiste du diagnostic Biomérieux.
Agroalimentaire - Le tribunal de commerce de Quimper doit trancher sur les offres de reprise partielle du pôle frais de Doux. Entretemps, la communauté urbaine de Marseille signe l'acte d'acquisition du terrain et des bâtiments de l'usine Fralib de Gémenos (Bouches-du-Rhône).
JEUDI 6 SEPTEMBRE
Aéronautique - Roland Berger dévoile les résultats de l’édition 2012 de son étude annuelle sur le secteur "Aéronautique et Défense" à laquelle ont participé une centaine de dirigeants en Europe.
Social - La commission exécutive de la CGT se réunit pour présenter les conclusions d’un rapport sur le processus à mettre en place pour la succession de Bernard Thibaut.
Pharmacie - Présentation d'Innate Pharma dans le cadre de la journée "Valeurs moyennes" qui se tiendra à la Société française des analystes financiers (Sfaf) à Paris.
Electronique - Le cas de l’usine d’Angers de Technicolor doit être réétudié par le juge-commissaire en charge du dossier au tribunal de commerce de Nanterre. Le site a été placé en redressement judiciaire le 1er juin avec une période d’observation de six mois.
Economie - Réunion du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne à Francfort.
Numérique - Le site de distribution en ligne Amazon dévoile sa nouvelle gamme Kindle.
VENDREDI 7 SEPTEMBRE
Entreprise - 12ème édition du forum des entrepreneurs avec plus de 2 000 participants. Le thème : "Dernières nouvelles du futur" .
Automobile - Le groupe PSA devrait être fixé sur son sort et savoir si'l reste, ou pas, dans le CAC 40 à l’issue du conseil scientifique des indices de NYSE Euronext.
8 ET 9 SEPTEMBRE
Economie - Le sommet annuel du Forum économique Asie-Pacifique (Apec) réunit 18 chefs d'Etats à Hanoï.

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