La société française Winestar a mis en boîte trois vins du Languedoc. Elle prévoit également de vendre sous forme de canettes des vins de Bordeaux, de Bourgogne, de Rhône, de Provence, de Beaujolais, de Loire et d’Alsace.
Sous la bannière de Fabulous Brands, Winestar vise une clientèle de « jeunes adultes », en théorie davantage adeptes de ce format de conditionnement.
Les canettes sont pour l’instant uniquement disponibles au Carrefour City de Saint-Lazare, Paris (VIIIe) et à La Civette de La Bastille, Paris (XIe). Le produit est vendu en rayons depuis le 1er juin. Une canette coûte 2,50 euros pour 187ml. Les canettes sont aussi vendues sur internet, chez quelques cavistes, dans certaines boulangeries et dans quelques points de vente de restauration haut de gamme.
«  Nous voulons devenir le Nespresso du vin et le démocratiser  », a déclaré au Figaro Cédric Segal, cofondateur de Fabulous Brands, qui a lancé la marque de vin en canettes Winestar. « Il n’y a pas aujourd’hui d’offre de qualité en petits formats. »
Winestar cible en priorité les jeunes qui ont tendance à bouder le vin au profit des sodas, de la bière et des alcools fort. La société vise 1,3 million d’euros de chiffre d’affaires en France cette année






Encore un vol de Boeing 787 annulé au Japon, le troisième en trois jours
 
 
Un vol que devait effectuer mercredi un Boeing 787 a dû être annulé au Japon à cause d'un problème de moteur, le troisième incident et la troisième annulation intervenant sur des appareils de ce type exploités par les deux principales compagnies japonaises.
Un vol que devait effectuer mercredi un Boeing 787 a dû être annulé au Japon à cause d'un problème de moteur, le troisième incident et la troisième annulation intervenant sur des appareils de ce type exploités par les deux principales compagnies japonaises.
      
AFP - Un vol que devait effectuer mercredi un Boeing 787 a dû être annulé au Japon à cause d'un problème de moteur, le troisième incident et la troisième annulation intervenant sur des appareils de ce type exploités par les deux principales compagnies japonaises.
Mercredi, un 787 d'All Nippon Airways (ANA), qui devait partir de la préfecture de Yamaguchi à l'ouest du Japon en direction de Tokyo, a été cloué au sol du fait d'un signal d'anomalie de moteur droit apparu dans le cockpit, selon une porte-parole d'ANA.
Les 141 passagers ont été transférés vers un autre vol.
Ce nouveau pépin, dont la cause n'a pas encore été révélée, intervient alors que deux autres liaisons différentes ont déjà été supprimées la veille et l'avant-veille sur des 787 Dreamliner.
Mardi, un 787 exploité par Japan Airlines (JAL), qui volait de Tokyo vers Singapour, a dû rebrousser chemin en raison d'un souci avec son système antigivre du moteur gauche.
Un porte-parole de JAL a cependant indiqué mercredi que l'avion en question était désormais réparé et de nouveau opérationnel, grâce au changement de pièces défectueuses.
Et lundi, c'est déjà ANA qui avait dû renoncer à un vol intérieur partant de Fukuoka (ouest) vers Tokyo à cause d'un problème sur un capteur de température et pression du moteur gauche aussi.
Même s'ils sont sans rapport, ces incidents surviennent moins d'un mois après que JAL et ANA (compagnie de lancement et plus gros opérateur mondial de 787), ont remis en service leurs flottes de Dreamliner, victimes d'une suspension de quatre mois due à une interdiction internationale de vol.
Les 50 Boeing 787 alors exploités dans le monde ont momentanément été rivés au tarmac par les autorités à cause de gros problèmes de batterie lithium-ion.
Deux cas graves de surchauffe avait été déplorés en janvier, qui ont aussi forcé Boeing à suspendre les livraisons de cet appareil de dernière génération et à opérer d'importantes modifications techniques pour éliminer les risques d'incendie.
La cause première de ces avaries demeure inconnue, mais Boeing assure que les solutions déployées, et approuvées par les autorités compétentes, garantissent la sûreté de l'appareil.