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"Ceux qui sont contre l'intervention au Mali, qu'ils viennent passer une journée à Gao ou Tombouctou"
65% des Français se disent favorables à l'intervention au Mali, selon un sondage Ifop pour Sud Ouest. Une grande majorité de Maliens de France aussi. Plusieurs centaines ont d'ailleurs manifesté samedi à Paris leur soutien à l'opération Serval. Dont Koudedia Keita, originaire du nord-ouest du Mali, drapeau tricolore à la main. "Lutter contre le terrorisme, c'est sauver la démocratie, dit-elle. Si c'est ça la colonialisme, alors que la France vienne s'installer au Mali".
Algérie: le chef des ravisseurs avait menacé de « faire exploser » les otages
Le chef présumé des ravisseurs sur un site gazier en Algérie avait menacé de « faire exploser » les otages si l’armée algérienne s’approchait trop près de l’usine, dans un enregistrement diffusé samedi. Dans ce message audio, diffusé par l’agence de presse mauritanienne ANI, Abdelrahmane, dit « le Nigérien » et chef supposé du commando d’une quarantaine de personnes, s’exprimait en fait jeudi soir alors que l’armée algérienne encerclait le site d’In Aménas (1.300 km au sud-est d’Alger) après avoir mené un premier assaut. Selon Abdelrahmane, la moitié des ravisseurs et 35 otages avaient été tués dans cet assaut. « Certains otages sont encore vivants et ils sont retenus par certains de nos frères dans le site gazier, qu’Allah soit loué », déclare-t-il, selon une traduction du SITE, le centre américain de surveillance de sites islamistes. « Par Allah, on les fera exploser si l’armée algérienne se rapproche de nous », avait-il prévenu. Les forces spéciales de l’armée algérienne ont donné l’assaut final samedi, mettant fin à une spectaculaire prise d’otages qui a entraîné la mort de 23 ressortissants étrangers et algériens, dont sept ont été exécutés par leurs ravisseurs. Plusieurs rescapés ont raconté que les otages avaient été enveloppés d’explosifs et installés dans des camions piégés. Parmi les otages confirmés morts jusqu’à vendredi par leurs pays figurent notamment des ressortissants de France, des Etats-Unis, de Roumanie et de Grande-Bretagne. Abdelrahmane est considéré comme l’un des lieutenants de l’Algérien Moktar Belmokhtar. Cet ex-chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué la prise d’otages au nom de son groupe « Signataires par le sang ». Ce dernier avait affirmé que la prise d’otages avait été menée notamment en représailles à l’intervention militaire française au Mali qui a bénéficié d’un soutien logistique d’Alger.
Sondage : la percée NKM à Paris
Selon notre enquête Ifop/Fiducial pour le JDD, Nathalie Kosciusko-Morizet ferait jeu égal avec François Fillon face à la favorite socialiste Anne Hidalgo, lors des municipales de 2014 à Paris. De quoi encourager l’ancienne ministre de l’Ecologie à se lancer dans les primaires de la droite parisienne qui devraient se dérouler au printemps.
A paraitre dans leJDD
L'ex-ministre de l'Ecologie ferait aussi bien que François Fillon aux municipales de Paris, face à Anne Hidalgo. (Reuters)
Vers un duel de femmes à Paris? A quatre cents jours des municipales, Anne Hidalgo, dauphine de Bertrand Delanoë à Paris, commence la course en pole position. C’est le principal enseignement du sondage Ifop/Fiducial réalisé auprès d’un échantillon d’électeurs parisiens pour Le Journal du Dimanche.
La première adjointe du maire de Paris, candidate déclarée, gagnerait dans tous les cas de figure face au candidat UMP. Mieux, elle sortirait en tête du premier tour (avec 38 à 39% des suffrages) quel que soit le nom du challenger de droite.
Fillon et NKM au coude à coude
Qui est le mieux placé pour porter les couleurs de l’UMP l’an prochain à Paris? Poussé par ses amis parisiens depuis cinq ans, François Fillon recueillerait 28%. Un résultat en demi-teinte puisque dans une enquête similaire réalisée au début du mois de septembre dernier, il obtenait 33% des voix. Certains verront dans cette relative contre-performance un effet collatéral de la crise de l’UMP avant Noël. La surprise provient surtout de la percée de Nathalie Kosciusko-Morizet. Testée pour la première fois depuis que son nom circule chez les élus parisiens, l’ancienne ministre de l’Ecologie fait jeu égal avec François Fillon. Si Fillon semble peu tenté par une aventure municipale dans la capitale, NKM laisse ses amis pousser sa candidature tout en affirmant que sa priorité demeure la ville de Longjumeau, dans l'Essonne, qu’elle administre depuis 2008.
Dati en retard
En attendant les choix de François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet, la candidature la plus crédible reste celle de Rachida Dati. La maire du VIIe arrondissement se prépare activement pour la primaire. Pour l’instant, elle peine à convaincre les Parisiens puisqu’elle obtiendrait 21% au premier tour si elle était tête de liste UMP. Testée aussi dans la primaire auprès d’un échantillon de sympathisants de droite (certes petit donc moins significatif), la députée européenne apparaît très en retard (8%) par rapport à Fillon (64%) et NKM (21%).
La suite de notre sondage ainsi que les résultats complets à lire dans Le Journal du Dimanche ou sur notre application iPad.
Après avoir fait tressaillir l'industrie automobile la semaine dernière, Renault devrait encore faire couler de l'encre cette semaine avec la suite des négociations compétitivité. Elles porteront cette fois-ci sur les salaires. Attendus également en fin de semaine, une floppée de résultats dans l'industrie numérique (Apple, Nokia et Samsung).
Lundi 21 janvier
Télécoms - Inauguration du nœud d'échange Internet de Grenoble. Géré par Rezopole, association soutenue par la Région Rhône-Alpes, ce nœud d'échange s'inscrit dans la logique d'amélioration du réseau Internet au niveau régional. Ce nœud permettra aux acteurs interconnectés (opérateurs, collectivités locales, grands comptes, PME), et indirectement au Grand Public, d'améliorer la qualité et la rapidité de leur accès Internet.
Télécoms - Inauguration du nœud d'échange Internet de Grenoble. Géré par Rezopole, association soutenue par la Région Rhône-Alpes, ce nœud d'échange s'inscrit dans la logique d'amélioration du réseau Internet au niveau régional. Ce nœud permettra aux acteurs interconnectés (opérateurs, collectivités locales, grands comptes, PME), et indirectement au Grand Public, d'améliorer la qualité et la rapidité de leur accès Internet.
Energie - Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault se rend à Saint-Nazaire, un lieu srtatégique pour la filière de l'éolien offshore. Il visitera les sites d'Alstom et de STX.
Automobile - La reprise du site General Motors de Strasbourg par Punch Metal Industries pourrait être validée ce lundi.
Mardi 22 janvier
Social - Les négociations compétitivité continuent chez Renault. La discussion portera cette fois sur les salaires.
Social - Les négociations compétitivité continuent chez Renault. La discussion portera cette fois sur les salaires.
Innovation - "Dynamique de la culture et du modèle chinois d’innovation". Ce sera le thème des "mardis de l'innovation". L'intervenant sera Marc Giget, le fondateur de l’Institut européen de stratégies créatives.
Agroalimentaire - Sofiprotéol présente son plan stratégique 2012-2018.
Energie - Réseau de transport d'électricité (RTE) soumet son bilan électrique 2012.
Mercredi 23 janvier
Electronique - Le géant Apple publie ses résultats financiers de le premier trimestre fiscal de l'année 2013 le 23 janvier prochain. Ce premier trimestre couvre une période allant du mois d'octobre au mois de décembre 2012. Une période cruciale pour Apple puisqu'il couvre la totalité des fêtes.
Electronique - Le géant Apple publie ses résultats financiers de le premier trimestre fiscal de l'année 2013 le 23 janvier prochain. Ce premier trimestre couvre une période allant du mois d'octobre au mois de décembre 2012. Une période cruciale pour Apple puisqu'il couvre la totalité des fêtes.
Télécoms - Le Canadien RIM réunit ses clients du monde de la police et ses partenaires sur le même secteur, à l'occasion du BlackBerry Police Summit. Il en profitera pour faire des démonstrations de son BlacberryOS 10 officiellement annoncé le 30 janvier prochain.
Justice - La Cour d'appel de Versailles doit rendre sa décision concernant l'affaire d'espionnage pour laquelle est accusée EDF au détriment de Greenpeace. Le 8 novembre dernier, la confirmation de l'amende de 1,5 million d'euros, infligée à EDF en 2011 a été requise devant la cour d'appel de Versailles.
Jeudi 24 janvier
Agroalimentaire - Le groupe Tereos présente ses résultats annuels à 8h45. Il lèvera également le voile sur ses projets de développement pour l'année 2013.
Agroalimentaire - Le groupe Tereos présente ses résultats annuels à 8h45. Il lèvera également le voile sur ses projets de développement pour l'année 2013.
Energie - Le conseil national du débat sur la transition énergétique se réunit pour la seconde fois.
Télécoms - Nokia doit présenter ses résultats annuels. La semaine dernière, le fabricant finlandais de téléphones portables a annoncé une restructuration de sa branche technologies de l'information qui se traduira par 300 suppressions d'emplois au maximum.
INSURRECTION
Paris : une mère célibataire expulsée d'un 4m² en pleine trêve hivernale
PARIS. Ce logement de 4m² était loué 200€ par mois à une mère célibataire.
| FACEBOOK/FONDATION ABBE PIERRE
| FACEBOOK/FONDATION ABBE PIERRE
Un logement illégal et une expulsion en plein hiver. La Fondation Abbé Pierre rapporte qu'une mère célibataire a été expulsée de son logement cette semaine, à Paris, en pleine trêve hivernale. Et alors que la limite légale pour louer une habitation est de 9m², le lieu d'où cette femme a été expulsée ne mesure que 4m².
Depuis avril 2010, la jeune femme payait 200€ par mois pour ce logement, situé boulevard Brune, dans le 14e arrondissement. Mais après trois mois d'impayés, le propriétaire a décidé de l'expulser et de changer la serrure. Lundi dernier, il a déposé ses affaires dans des sacs poubelles dans le couloir de l'immeuble. Il a prévenu la jeune femme qu'elles y resteraient jusqu'à jeudi, rapporte le site Lavieimmo.
Faute de décision de justice pour l'expulsion, un adjoint au maire du 14e arrondissement et un représentant de la Fondation Abbé Pierre ont fait rechanger la serrure. Mais la femme a trouvé refuge avec son fils chez son oncle.
Selon le site Lavieimmo, la situation de cette mère célibataire était connue depuis le mois de juin 2012. Mais le local n'était pas interdit à l'habitation. Le propriétaire risque notamment des poursuites pour hébergement incompatible avec la dignité humaine. Cette affaire fait écho à celle d'un homme qui a vécu pendant 15 ans dans un local de 1,56m² pour 330€ par mois. Ce local a finalement été fermé par la Préfecture de police de Paris.
LeParisien.fr
SOCIETE
SOCIETE
En Chine, des médias se rebellent contre la censure
Des manifestants devant les locaux du Nanfang Zhoumo à Canton le 8/01//2013 (REUTERS)
La grève des journalistes du Nanfang Zhoumo, suite à la réécriture d’un édito par le Parti communiste, embrase les médias et les réseaux sociaux chinois.
Nuit du 1er au 2 janvier. Les bureaux du Nanfang Zhoumo (L’Hebdo du Sud) de Canton sont encore déserts, vacances obligent. La nouvelle édition du fameux hebdo cantonais sort des rotatives et, comme chaque année, les voeux de la rédaction s’accompagnent d’un message pour une Chine davantage à l’écoute de son peuple. Le 3 au matin, alors que les journalistes prennent connaissance de cette première édition 2013, ils réalisent que leur édito a été entièrement réécrit par les bureaux du Parti. Même le titre, initialement “”Un rêve chinois, le rêve constitutionnel”, s’est mystérieusement transformé en “Nous n’avons jamais été aussi proches de notre rêve”. Excédés, ils s’emparent alors du compte Weibo officiel du journal (le Twitter chinois) et dénoncent l’édito en exprimant leur ras-le-bol de ces pratiques honteuses.
Un simple tweet qui résonne depuis comme un cri contre la censure, repris en choeur par la population. Le 5 janvier, le combat des journalistes se durcit et ils décident d’entrer en grève. En quelques heures, les messages de soutien affluent sur les réseaux sociaux. Dans toute la Chine, étudiants et travailleurs se photographient brandissant une pancarte “Je soutiens le Nanfang Zhoumo”. Le Parti décide alors de contre-attaquer, imposant à tous les quotidiens de publier un démenti officiel écrit par le journal pro-gouvernemental Global Times. Dans un élan de solidarité, l’équipe des Nouvelles de Pékin annonce dès le lendemain matin sur Weibo : “Si vous voulez posséder quelque chose que vous n’avez jamais eu avant, vous devez faire quelque chose que vous n’avez jamais fait avant !” et refuse ainsi de publier le papier, et ce malgré le message très clair des services de propagande : “Ce soir, tous les services de médias ayant refusé de publier l”éditorial du Global Times verront leur site internet bloqué et leur journal interdit.”
Le 7 janvier, Les Nouvelles de Pékin et le Nanfang Zhoumo décident finalement de publier le communiqué afin de faire retomber la tension, mais l’accompagne d’un long commentaire critique : “Les méthodes du Parti pour contrôler les médias doivent évoluer avec leur temps.” Non sans humour, Les Nouvelles de Pékin glissent discrètement dans leurs pages lifestyle un article sur le “porridge de riz”, une spécialité de Canton dont le nom en chinois “nanfang zhou” ressemble étrangement à Nanfang Zhoumo. Cette chronique culinaire se lit entre les lignes pour devenir une vibrante lettre de soutien à l’action des journalistes : “Au milieu de la nuit glaciale, dans ce monde où tout est hasard, l’unique chose sur laquelle vous pouvez compter pour vous réchauffer, c’est ce bol de porridge de Canton. Un simple bol de porridge qui nous dit tout le pouvoir de l’amour et de sa consolation.”
Reflétant l’évolution récente des médias chinois, cette affaire montre une fois encore comment l’arrivée des réseaux sociaux vient changer la donne, donnant du fil à retordre aux censeurs. “Censurer les journaux n’est même plus satisfaisant pour le Parti, maintenant il les force en plus à publier des éditos de m***”, clame un internaute sur Weibo. Alors que les responsables de la propagande viennent montrer leurs muscles dans les locaux des journaux en grève à Pékin, les équipes postent photos et commentaires en direct. Même si des centaines de comptes sont fermés, des milliers de posts effacés et plusieurs journalistes limogés : le message est bien passé, sans rotatives, directement à des millions de personnes.
Après avoir reçu en quelques minutes des dizaines de milliers de commentaires, l’un des éditeurs écrit : “Ce soir, je me rappelle que nous sommes tous restés unis contre la réécriture du journal, je me rappelle de tous ceux qui sont venus après avoir reçu notre appel. Rappelez-vous aussi de l’humiliation ce soir. Rappelons-nous le chaque jour.”
Clément Renaud
Un simple tweet qui résonne depuis comme un cri contre la censure, repris en choeur par la population. Le 5 janvier, le combat des journalistes se durcit et ils décident d’entrer en grève. En quelques heures, les messages de soutien affluent sur les réseaux sociaux. Dans toute la Chine, étudiants et travailleurs se photographient brandissant une pancarte “Je soutiens le Nanfang Zhoumo”. Le Parti décide alors de contre-attaquer, imposant à tous les quotidiens de publier un démenti officiel écrit par le journal pro-gouvernemental Global Times. Dans un élan de solidarité, l’équipe des Nouvelles de Pékin annonce dès le lendemain matin sur Weibo : “Si vous voulez posséder quelque chose que vous n’avez jamais eu avant, vous devez faire quelque chose que vous n’avez jamais fait avant !” et refuse ainsi de publier le papier, et ce malgré le message très clair des services de propagande : “Ce soir, tous les services de médias ayant refusé de publier l”éditorial du Global Times verront leur site internet bloqué et leur journal interdit.”
Le 7 janvier, Les Nouvelles de Pékin et le Nanfang Zhoumo décident finalement de publier le communiqué afin de faire retomber la tension, mais l’accompagne d’un long commentaire critique : “Les méthodes du Parti pour contrôler les médias doivent évoluer avec leur temps.” Non sans humour, Les Nouvelles de Pékin glissent discrètement dans leurs pages lifestyle un article sur le “porridge de riz”, une spécialité de Canton dont le nom en chinois “nanfang zhou” ressemble étrangement à Nanfang Zhoumo. Cette chronique culinaire se lit entre les lignes pour devenir une vibrante lettre de soutien à l’action des journalistes : “Au milieu de la nuit glaciale, dans ce monde où tout est hasard, l’unique chose sur laquelle vous pouvez compter pour vous réchauffer, c’est ce bol de porridge de Canton. Un simple bol de porridge qui nous dit tout le pouvoir de l’amour et de sa consolation.”
Reflétant l’évolution récente des médias chinois, cette affaire montre une fois encore comment l’arrivée des réseaux sociaux vient changer la donne, donnant du fil à retordre aux censeurs. “Censurer les journaux n’est même plus satisfaisant pour le Parti, maintenant il les force en plus à publier des éditos de m***”, clame un internaute sur Weibo. Alors que les responsables de la propagande viennent montrer leurs muscles dans les locaux des journaux en grève à Pékin, les équipes postent photos et commentaires en direct. Même si des centaines de comptes sont fermés, des milliers de posts effacés et plusieurs journalistes limogés : le message est bien passé, sans rotatives, directement à des millions de personnes.
Après avoir reçu en quelques minutes des dizaines de milliers de commentaires, l’un des éditeurs écrit : “Ce soir, je me rappelle que nous sommes tous restés unis contre la réécriture du journal, je me rappelle de tous ceux qui sont venus après avoir reçu notre appel. Rappelez-vous aussi de l’humiliation ce soir. Rappelons-nous le chaque jour.”
Clément Renaud
DIVERS
Kim Dotcom lance "Mega", un nouveau site de téléchargement sécurisé
Kim Dotcom
Le fondateur de Megaupload.com, sous la menace d'une extradition vers les Etats-Unis qui veulent le juger pour violation de droits d'auteur, a officiellement lancé dimanche un nouveau site de partage de fichier baptisé Mega, submergé dès les premières heures.
Kim Dotcom a annoncé l'ouverture du site mega.co.nz dimanche à 06H48 en Nouvelle Zélande (17H48 GMT samedi), un an exactement après la perquisition par la police néo-zélandaise de sa vaste propriété à Auckland (nord). Kim Schmitz, qui a changé son nom en Kim Dotcom, est actuellement en liberté sous caution en Nouvelle-Zélande, où il vivait au moment de son arrestation à la suite de ce raid.
"100.000 utilisateurs en moins d'une heure" puis "250.000 utilisateurs inscrits. La capacité des serveurs à son maximum. Ca devrait aller mieux une fois retombée l'euphorie initiale. Wow!!", s'est félicité l'Allemand sur son compte Twitter.
Le nouveau site était inaccessible dimanche vers 05H00 GMT, et ce depuis plusieurs heures.
"Je ne peux pas m'enregister, c'est bloqué", se plaignait un internaute. "Je ne peux pas ouvrir le site", remarquait un autre.
Mega.co.nz se présente comme un service de stockage en ligne de type Dropbox ou Google Drive mais il propose 50 GB de stockage, une offre nettement supérieure à ses concurrents.
Kim Dotcom l'a annoncé hyper sécurisé et plus puissant que Megaupload, fermé il y a un an par les autorités américaines. Défiant ouvertement la Maison Blanche, il a publié un court tweet sur le compte @BarackObama, un quart d'heure avant l'activation du site: "15 minutes".
Kim Dotcom, de nationalité allemande, est sous la menace d'une extradition aux Etats-Unis, qui veulent le juger pour violation de droits d'auteur. L'audience pour l'extradition a été repoussée deux fois et est à présent fixée à août 2013.
La justice américaine accuse les responsables de Megaupload d'avoir frauduleusement amassé 175 millions de dollars américains (135 millions d'euros) en proposant des copies piratées de films, de programmes télévisés et d'autres contenus.
Créé en 2005 et installé à Hong Kong, le site affirmait rassembler chaque jour 50 millions d'utilisateurs et représenter 4% du web.
Kim Dotcom a visiblement voulu se protéger de nouvelles poursuites judiciaires en assurant que les données échangées entre utilisateurs du site mega.co.nz seraient cryptées et inaccessibles aux administrateurs.
"100.000 utilisateurs en moins d'une heure" puis "250.000 utilisateurs inscrits. La capacité des serveurs à son maximum. Ca devrait aller mieux une fois retombée l'euphorie initiale. Wow!!", s'est félicité l'Allemand sur son compte Twitter.
Le nouveau site était inaccessible dimanche vers 05H00 GMT, et ce depuis plusieurs heures.
"Je ne peux pas m'enregister, c'est bloqué", se plaignait un internaute. "Je ne peux pas ouvrir le site", remarquait un autre.
Mega.co.nz se présente comme un service de stockage en ligne de type Dropbox ou Google Drive mais il propose 50 GB de stockage, une offre nettement supérieure à ses concurrents.
Kim Dotcom l'a annoncé hyper sécurisé et plus puissant que Megaupload, fermé il y a un an par les autorités américaines. Défiant ouvertement la Maison Blanche, il a publié un court tweet sur le compte @BarackObama, un quart d'heure avant l'activation du site: "15 minutes".
Kim Dotcom, de nationalité allemande, est sous la menace d'une extradition aux Etats-Unis, qui veulent le juger pour violation de droits d'auteur. L'audience pour l'extradition a été repoussée deux fois et est à présent fixée à août 2013.
La justice américaine accuse les responsables de Megaupload d'avoir frauduleusement amassé 175 millions de dollars américains (135 millions d'euros) en proposant des copies piratées de films, de programmes télévisés et d'autres contenus.
Créé en 2005 et installé à Hong Kong, le site affirmait rassembler chaque jour 50 millions d'utilisateurs et représenter 4% du web.
Kim Dotcom a visiblement voulu se protéger de nouvelles poursuites judiciaires en assurant que les données échangées entre utilisateurs du site mega.co.nz seraient cryptées et inaccessibles aux administrateurs.
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