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lundi 9 juillet 2012

09072012 QUOI DE NEUF ?

SOCIETE

DROITS ET DEVOIRS DES MEDIA (Les enregistrements de Merah)

Valls «regrette» la diffusion des enregistrements de Merah par TF1

Fallait-il diffuser les enregistrements entre Merah et la police ?

La colère des proches des victimes de Mohamed Merah

Enregistrements de Merah diffusés par TF1 : une enquête est ouverte

Polémique après la diffusion sur TF1 des enregistrements de Mohamed Merah

Diffusion Merah : ouverture d'une enquête et colère des familles des victimes

Enregistrements Merah: "On ne diffuse pas n'importe quoi n'importe comment" (Emmanuel Chain)

Les familles «scandalisées» par la diffusion d'enregistrements de Merah

ET SI, POUR SIMPLIFIER, ON SE CONTENTAIT DE DIRE.
- QUELQU'UN A FAIT DU FRIC EN VENDANT LES ENREGISTREMENTS A TF1
-TF1 SE FAIT DU FRIC EN LES DIFFUSANT ET, TANT MIEUX SI POLEMIQUE IL Y A.

TOUT LE RESTE: DROIT A L'INFORMATION, DROIT DE CONNAITRE LA VERITE, ETC... N'EST QUE PIPEAU.

ET EN PLUS


INSURRECTION


POLITIQUE
Conférence sociale: premier test pour le gouvernement

Conférence sociale : Mailly se dit «positif et déterminé»
LIBERATION

Contrat de génération et inscription du dialogue social dans la Constitution, F. Hollande ouvre la Conférence sociale
FRANCE INFO L'USINE NOUVELLE

Sommet social : syndicats et opposition mettent la pression
LE FIGARO

Discours d'ouverture de François Hollande pour la grande conférence sociale

Conférence sociale : les syndicats satisfaits, un dialogue "détendu"
LANGUE DE BOIS EN SYRIE: Rencontre "constructive" entre Kofi Annan et Bachar al-Assad à Damas
ECONOMIE

La France émet pour la première fois à des taux négatifs

L'Agence France Trésor a levé 7,7 milliards d'euros d'emprunts à court terme. Les taux des titres à 13 et 24 semaines sont ressortis négatifs. Autrement dit, les investisseurs sont prêts à perdre de l'argent pour prêter à l'Etat français.


DR
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Pour la première fois de son histoire, la France a levé de la dette ce lundi 9 juillet à des taux d'intérêt négatifs.
Lors de son adjudication hebdomadaire de Bons du Trésor (BTF), les taux des émissions à 13 semaines (3 mois) et 24 semaines (6 mois) sont en effet ressortis à respectivement -0,005% et -0,006%. Le taux moyen de l'émission à 50 semaines (1 an) est tombé lui à 0,013%, un niveau historiquement bas.
Cela signifie que, face à la tempête, les investisseurs se ruent sur ces papiers de court terme dans une logique de préservation de leur capital. Et ils sont prêts à percevoir des rendements négatifs, autrement dit à perdre un peu d'argent, pour protéger leurs avoirs. « C'est comme louer un coffre-fort à la banque », explique Mathieu Chabran, chez Tikehau IM.
Au total, l'Agence France Trésor, chargée de placer la dette française sur les marchés, a levé 7,7 milliards d'euros ce lundi, soit le haut de la fourchette envisagée.

« Second meilleur choix » derrière l'Allemagne

Dans son histoire, jamais la France ne s'est aussi bien portée sur les marchés qu'actuellement. Au cours des dernières émissions à 2, 5, 10 ou même 30 ans, les taux sont sortis à des niveaux historiquement bas.
Depuis le début de l'année 2012, le coût d'emprunt moyen français est de 2,14 %. Il était de 2,80 % en 2011, de 2,95 % en 2009 et de 4,15 % en moyenne sur la période 1998-2007.
L'engouement des investisseurs pour la dette française est lié à la crise et aux craintes d'un éclatement de la zone euro. L'Allemagne est la première bénéficiaire de ces inquiétudes, mais les investisseurs se reportent aussi sur la France, qui fait office de « second meilleur choix » dans la zone euro tant sa dette est liquide.
Certains gros investisseurs institutionnels, assureurs ou fonds de pension, ont en effet besoin de placer plusieurs centaines de millions d'euros par semaine. Avec la crise qui secoue la zone euro, les débouchés au Bund allemand sont peu nombreux.
A la mi-journée, l'Allemagne a placé une émission obligataire de 3,29 milliards d'euros à six mois, assortie d'un taux négatif, et établi ainsi un record avec un rendement de -0,03%, a annoncé l'Agence financière, qui gère la dette publique allemande. En janvier la première économie européenne avait déjà emprunté sur six mois à taux négatif, avec un rendement de -0,012%.
GUILLAUME MAUJEAN
  
HUMOUR......ENCORE QUE......
Face à Ayrault, la droite couine mais n'en pense pas moins...
Marianne
Bien sûr, l'opposition a vivement réagi au discours de politique générale du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Mais en coulisses, ses représentants sont plus circonspects sur le gouvernement, dont ils jugent les options plutôt raisonnables.
Il l’a fait… » C’est en substance ce que se murmurent, admiratifs, les responsables de droite quand les caméras s’éloignent. Le mou, le flou François Hollande a non seulement obtenu d’Angela Merkel des mesures de croissance que Nicolas Sarkozy n’avait même jamais osé demander, et le voilà qui déploie en prime –sans le nommer, n’exagérons rien- un plan de rigueur que ne renierait pas le chantre de l’austérité François Bayrou. De quoi laisser l’opposition sans voix. Ou de mauvaise foi. 
A l’instar de Jean-François Copé, les ténors de l’UMP se pressent dans les médias pour fustiger « le manque de courage politique » du nouveau gouvernement ou dénoncer « la saignée dans les ministères », dixit Pécresse. « Condamner les coupes dans la fonction publique serait un bon angle d’attaque si cette politique n’avait pas été initiée par nous, raille Dominique Paillé, ancien porte-parole de l’UMP et membre du Parti radical. Hollande a une attitude responsable et courageuse, il s’attaque aux déficits. Cette politique de rigueur, si elle est menée à bien, honorera le gouvernement. » En triple off, une secrétaire nationale de l’UMP pourtant proche de Jean-François Copé ose glisser : « On ne se grandit pas à leur tomber dessus à bras raccourcis alors que la période des cent premiers jours n’est même pas finie. » D’autant que, comme le souligne le libéral Gérard Longuet dans une interview accordée au Point paru le 5 juillet, « la probabilité que le PS, encadré par les réalités européennes, se comporte de façon totalement délirante est assez faible ».
De son côté, Jean-Louis Borloo, n’a d’ailleurs pas exclu dans son premier discours de président du groupe de centre droit à l’Assemblée de donner au gouvernement « un soutien particulier lorsque l’intérêt national sera en jeu ». Quant à Copé, il a cru malin d’ironiser dans le Figaro : « Jean-Marc Ayrault se réclame de la « gauche réaliste ». Mais qu'est-ce que c'est qu'une politique de gauche réaliste ? C'est une politique de droite. » Avec une telle affirmation, difficile désormais pour l’opposition de critiquer la politique gouvernementale.

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