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mardi 2 octobre 2012

02102012 QUOI DE NEUF ?

HUMOUR......ENCORE QUE......


 

 

ECONOMIE

American Airlines prend du plomb dans l'aile après trois vols désastreux



Un avion d'American Airlines à l'aéroport de Miami, le 25 septembre 2012
Un avion d'American Airlines à l'aéroport de Miami, le 25 septembre 2012 (AFP)
Trois vols désastreux risquent d'aggraver encore la réputation de la compagnie aérienne en faillite American Airlines, déjà plombée par des retards et annulations en série depuis début septembre alors que ses relations avec ses employés se détériorent.
Lundi, un vol New York-Miami a dû faire un atterrissage d'urgence à New York à cause d'une rangée de sièges qui lâchait.
Samedi, un autre vol qui allait de Boston à New York avait dû également se poser d'urgence à New York pour le même problème, a indiqué à l'AFP une porte-parole, Mary-Frances Fagan.
"Nous avons des experts (du groupe) qui étudient ces avions" et tentent de déterminer "pourquoi les sièges n'étaient pas fixés dans le rail sur le plancher" comme ils auraient dû l'être, a-t-elle ajouté, insistant sur le fait que les passagers avaient été réacheminés par un autre avion en toute sécurité.
Ce week-end, dans une tribune publiée par le New York Times, un passager décrivait un vol cauchemardesque de 30 heures entre Paris et New York, au cours duquel l'avion avait dû atterrir d'urgence en raison d'un altimètre défectueux. L'embarquement à bord d'un deuxième appareil n'avait pu être effectué, les portes ne s'ouvrant pas, et les passagers avaient été confrontés à des employés au mieux détachés, au pire complètement incompétents, selon le récit.
"Toi, American Airlines, ne devrais plus faire de vols transatlantiques. Tu n'as pas le savoir-faire. Tu n'as pas l'équipement. Et tes employés ont clairement perdu tout intérêt dans tes opérations", concluait l'écrivain Gary Shteyngart dans ce témoignage.
Ce vol a été "dérouté vers Londres Heathrow le lundi 24 septembre à cause d'un problème mécanique" et a dû procéder à un atterrissage d'urgence car il était "surchargé" en kérozène, a expliqué à l'AFP Matt Miller, un autre porte-parole joint par courriel.
Depuis plusieurs semaines, la compagnie et sa maison mère AMR déplorent par ailleurs un bond des retards et annulations de vols qu'elles attribuent à une grève du zèle des pilotes.
"Nous avons vu une augmentation sans précédent des notifications de (problèmes techniques de la part des pilotes), parfois au moment du départ et n'étant pas liés à des problèmes de sécurité", a souligné M. Miller.
La FAA elle-même a infligé une lourde amende de 162,4 millions de dollars pour défauts de maintenance présentant des risques de sécurité.
Le syndicat Allied Pilots Association (APA) a de son côté réfuté les accusations d'AMR: "La liste des problèmes de maintenance non résolus s'allonge chaque jour sur les appareils vieillissants que nous utilisons, et nous ne pouvons (les) ignorer", a-t-il affirmé.
"Le niveau de nos personnels de maintenance est approprié" et "l'âge de notre flotte n'a pas brusquement augmenté ces dernières semaines", a rétorqué M. Miller, selon lequel American Airlines aura "la plus jeune flotte des grandes compagnies aériennes d'ici 5 ans" grâce au renouvellement en cours de ses appareils.
Pour l'analyste Richard Aboulafia, du cabinet spécialisé Teal Group, ces problèmes dénotent "un climat social vicié".
"L'objectif du syndicat est de forcer une fusion avec US Airways, mais cela aurait pour conséquence de mettre la direction (de la compagnie) au chômage. Etant donné que les syndicats ont l'air déterminé, elle n'a cependant peut-être pas le choix. Si (cette situation) continue, cela risque d'anéantir les chances de survie de la compagnie", estime-t-il.
De fait, AMR se résout depuis début juillet à une possible fusion avec US Airways. La compagnie n'a toujours pas conclu d'accord avec certains syndicats de pilotes un an après son dépôt de bilan et un tribunal lui a refusé d'annuler unilatéralement les engagements salariaux existants.
Les syndicats, eux, sont favorables à un mariage avec US Airways, qui leur promet moins de licenciements qu'AMR.










Les pressions se multiplient dans le dossier EADS - BAE Systems

BAE Systems
© D.R.

A lire sur le même sujet


EADS et BAE Systems doivent revoir leur projet de fusion car il n'est pas créateur de valeur à ce stade, a estimé lundi Lagardère, l'actionnaire de référence français de la maison-mère d'Airbus, et ce au moment où Londres menacerait de son coté de s'opposer au projet, selon une source proche du gouvernement britannique.
A neuf jours de la date-limite fixée par EADS et BAE pour ficeler leur projet, le groupe de médias dirigé par Arnaud Lagardère a jugé que les conditions de rapprochement des deux entreprises étaient "insatisfaisantes."
Lagardère appelle dans un communiqué à un réexamen du projet qui prenne "mieux en compte l'ensemble des intérêts de l'actionnariat français de contrôle d'EADS".
A ce stade des discussions, la parité de fusion retenue - 60% pour les actionnaires du groupe européen et 40% pour ceux de l'entreprise britannique - est jugée défavorable aux actionnaires d'EADS par plusieurs analystes.
Une source proche des discussions a fait valoir que la probabilité de voir les discussions échouer était maintenant supérieure à celle d'un accord.
Dans sa dernière édition, le magazine Der Spiegel rapporte que Paris et Berlin se sont entendus sur une position commune prévoyant qu'ils conservent chacun une participation de 9% dans le géant mondial de la défense et de l'aérospatiale qui serait issu de la fusion.
L'accord franco-allemand servirait de base aux négociations prévues avec le gouvernement britannique cette semaine, ajoute l'hebdomadaire.
La France détient directement 15% d'EADS et entend conserver son influence sur la stratégie du groupe qu'elle exerce actuellement par le biais d'un accord avec Lagardère, actionnaire à hauteur de 7,5%.
L'Allemagne n'a pas de participation directe dans EADS mais le projet de fusion lui donne l'opportunité de prendre le contrôle de parts actuellement détenues par le constructeur automobile Daimler et un groupe de banques.
VETO
Le gouvernement britannique serait prêt à user de son action spécifique, ou "golden share", pour opposer son veto à la fusion d'EADS et de BAE si les conditions de cette opération ne lui convenaient pas, a déclaré une source du ministère britannique de la Défense en fin d'après-midi.
L'équipe de David Cameron ne souhaite pas que la France et l'Allemagne détiennent chacune 9% de l'entité. "Ils veulent qu'elle soit préservée de toute influence politique manifeste", a expliqué la source.
L'action EADS a progressé de 1,01% à 24,91 euros lundi à la Bourse de Paris. Depuis le 12 septembre, date de l'annonce des discussions, elle affiche une baisse de 11%, ce qui représente près de quatre milliards d'euros de capitalisation partis en fumée.
L'action Lagardère a avancé de 1,36% à 21,55 euros.
"Je crois que ce qu'ils veulent, c'est une bonne parité pour sortir", a souligné un opérateur de marché basé à Londres a propos des déclarations du groupe Lagardère.
Dans une tribune publiée lundi dans trois journaux, les dirigeants d'EADS et BAE Systems s'efforcent de rassurer les investisseurs sur les avantages de leur projet de fusion, opération estimée à quelque 35 milliards d'euros.
CONVERGENCE
Un porte-parole de Lagardère a refusé de commenter la nature des négociations actuellement en cours. Un porte-parole d'EADS s'est de son côté refusé à tout commentaire.
Un accord, s'il a lieu, devra en tout état de cause faire converger les positions de Paris, Londres et Berlin.
De source gouvernementale française, on doutait vendredi qu'un projet précis soit défini dans les temps impartis en raison de la complexité des enjeux à l'oeuvre, notamment au regard de la localisation des sites industriels et des emplois, du contrôle des activités nucléaires et des produits de défense à l'attention du marché américain.
Londres devrait exiger que les activités de défense du nouveau groupe soient basées à Londres pour préserver son accès aux appels d'offres du Pentagone.
Les Etats-Unis, l'Espagne et l'Arabie saoudite pourraient également poser des conditions préalables à l'opération.
Avec Reuters (Matthias Blamont, édité par Jean-Michel Bélot)








Samsung finalement autorisé à vendre sa tablette aux Etats-Unis


Un tribunal californien vient d'accepter de lever l'interdiction de vente la tablette Galaxy Tab 10.1 de Samsung sur le marché américain.


Reuters
Reuters

Nouveau rebondissement dans la guerre des brevets que se livrent depuis des mois le sud-coréen Samsung et l'américain Apple. Un tribunal californien vient d'accepter de lever l'interdiction de vente la tablette Galaxy Tab 10.1 de Samsung sur le marché américain.

Ce blocage avait été décrété en juin dernier avant la tenue du grand procès opposant Apple et Samsung. Si le fabricant sud-coréen avait été effectivement reconnu coupable d'avoir illégalement utilisé sur ses smartphones plusieurs brevets mis au point par son concurrent et avait été condamné en août à payer une amende d'1,05 milliards de dollars, il n'avait en revanche pas été pris en défaut sur la propriété intellectuelle utilisée dans sa tablette. Samsung avait donc demandé à la justice américaine de lever l'interdiction de vente imposée à sa Galaxy Tab.

Apple est numéro un mondial des tablettes informatiques devant Samsung, et les positions sont inversées sur le marché des téléphones multimédias (smartphones). Et Samsung, juste avant la mise en vente de l'iPhone 5, a ouvert un nouveau front judiciaire contre son concurrent.

Écrit par Gabriel GRESILLON
Correspondant à Pékin









Samsung porte plainte contre l'iPhone 5

Le Sud-Coréen estime que le smartphone vedette d'Apple viole 8 brevets.

Samsung porte plainte contre l\'iPhone 5

Sonné en août par sa condamnation à payer une amende record de 1,05 milliards de dollars à Apple pour violations de brevets, Samsung contre-attaque. Le groupe a obtenu lundi la levée de l'interdiction de vente de sa tablette Galaxy Tab 10.1aux Etats-Unis, et vient de déposer plainte contre le dernier iPhone lancé par son grand rival Apple.

« Dès que l'iPhone 5 a été disponible à l'achat, Samsung a commencé ses investigations sur le produit », a indiqué le groupe dans sa plainte. Selon Samsung, le smartphone d'Apple viole, comme ses prédécesseurs, mais aussi l'iPad et l'iPod Touch, huit brevets, dont deux brevets essentiels (portant sur des technologies devenues des standards).

Cette réplique du Sud-Coréen était attendue, le groupe ayant indiqué dès le lancement de l'iPhone 5, le mois dernier, vouloir agir judiciairement. Elle vient gonfler l'épais dossier qui occupe le bureau de la juge Lucy H. Koh du tribunal de San José en Californie, celle-là même qui a rendu un premier verdict cet été. Un nouveau procès est programmé pour 2014, et Apple et Samsung comparent leurs produits pour étoffer leurs plaintes.

S'en attendre 2014, les rivaux se retrouveront devant les tribunaux dès le 6 décembre prochain, à San José. Apple réclame une augmentation de l'amende infligée cet été à Samsung, et va tenter d'obtenir l'interdiction de ventes de huit smartphones Samsung et de la Galaxy Tab 10.1. Samsung, pour sa part, s'estime lésé par le procès de cet été, aux contraintes trop lourdes, et en réclame un nouveau. Une telle pugnacité n'a rien d'étonnant : les deux groupes se battent pour la domination d'un marché du smartphone de plus de 219 milliards de dollars.


Écrit par Clémence DUNAND
Editrice Web





POLITIQUE
Syrie: l'Iran met en garde Damas contre l'utilisation d'armes chimiques
L'Iran a averti implicitement lundi son allié syrien que l'éventuelle utilisation d'armes chimiques ferait perdre au gouvernement syrien toute légitimité.


L'Iran a averti implicitement lundi son allié syrien que l'éventuelle utilisation d'armes chimiques ferait perdre au gouvernement syrien toute légitimité.
AFP - L'Iran a averti implicitement lundi son allié syrien que l'éventuelle utilisation d'armes chimiques ferait perdre au gouvernement syrien toute légitimité.
En réponse à une question sur l'utilisation éventuelle par Damas d'armes chimiques et la réaction qu'aurait alors Téhéran, le ministre iranien des affaires étrangères Ali Akbar Salehi a répondu que "si cette hypothèse se vérifiait (..), ce serait la fin de tout".
"Si un pays quel qu'il soit, y compris l'Iran, utilise des armes de destruction massive, c'est la fin de la validité, de la légitimité (..) de ce gouvernement", a-t-il affirmé.
M. Salehi, qui participait à un débat organisé par le Council on Foreign Relations, un centre d'études américain, a ajouté: "Les armes de destruction massive, nous l'avons dit, sont contre l'humanité, c'est quelque chose qui n'est pas acceptable du tout".
Les forces iraniennes ont été victimes d'attaques au gaz de combat par les troupes irakiennes lors de la guerre entre les deux pays (1980-1988), comme l'a rappelé M. Salehi.
Plusieurs responsables occidentaux ont mis en garde Damas contre la tentation d'utiliser son arsenal chimique contre l'opposition ou les risques de voir celui-ci tomber aux mains de groupes extrémistes.
Damas avait reconnu pour la première fois fin juillet posséder des armes chimiques et avait menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale, mais jamais contre sa population. Washington avait alors qualifié cette éventualité de "ligne rouge".
Le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, a accusé lundi les Etats-Unis d'utiliser le prétexte des armes chimiques pour tenter de renverser le régime syrien, comme ils l'ont fait en Irak.











Conflit Chine-Japon: 4 navires chinois dans les eaux territoriales des îles disputées



Au large des îles disputées en mer de Chine, le 25 septembre 2012
Au large des îles disputées en mer de Chine, le 25 septembre 2012 (AFP)
Quatre navires gouvernementaux chinois sont entrés mardi dans les eaux territoriales d'îles de mer de Chine orientale administrées par le Japon mais revendiquées par Pékin, ont annoncé les garde-côtes nippons.
Ces quatre bateaux de surveillance maritime chinois sont entrés dans ces eaux peu après 12H30 locales (03H30 GMT), ont précisé les garde-côtes qui demandaient à ces navires de quitter la zone.
"Nos navires de patrouille leur disent de sortir de nos eaux territoriales. Il n'y a eu aucune réponse", ont expliqué les garde-côtes dans un communiqué.
Ils ont ajouté que deux autres navires chinois, de l'administration des pêches, voguaient à proximité des îles, sans entrer dans la limite des eaux territoriales toutefois.
La tension est fortement montée entre les deux voisins depuis la nationalisation par le Japon au début septembre de ces îles, appelées Senkaku à Tokyo et Diaoyu à Pékin.
Des navires chinois de surveillance maritime et de l'administration des pêches sont entrés depuis plusieurs fois dans la limite des eaux territoriales, qui s'étend à 22 km au large des îles. Aucune entrée dans ces eaux n'avait toutefois eu lieu depuis une semaine.
Cet archipel inhabité de cinq îles se situe à 200 km au nord-est des côtes de Taïwan et à 400 km à l'ouest d'Okinawa (sud du Japon).
Taipei le revendique également et une flottille d'une cinquantaine de bateaux de pêche escortés d'une dizaine de navires des garde-côtes taïwanais sont entrés dans ses eaux territoriales le mardi 25 septembre, avant d'en ressortir et de retourner sur l'île de Taïwan.
Outre leur indéniable valeur stratégique, ces îles pourraient receler des hydrocarbures dans leurs fonds marins.
Des manifestations antijaponaises, parfois violentes, de dizaines de milliers de Chinois ont eu lieu à la mi-septembre dans de nombreuses villes de Chine, avant que les autorités de Pékin ne mette le holà.
La tension reste toutefois vive entre les autorités des deux pays.
Mercredi 26 septembre, le Premier ministre nippon, Yoshihiko Noda, a souligné que ces îles faisaient "partie intégrante" du territoire japonais et qu'il ne pourrait "y avoir de compromis" avec Pékin à ce propos, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.
Le lendemain, le ministre chinois des Affaires étrangères, Yang Jiechi, a accusé à la tribune de l'ONU le Japon d'avoir "volé" ces îles à la Chine, appelant Tokyo à "corriger ses erreurs par des actions concrètes et à revenir sur la voie d'un règlement négocié".
La Chine a en outre "repoussé" une cérémonie qui devait marquer le 40e anniversaire de la normalisation des relations entre la Chine et le Japon.








DIVERS

L'ancienne garde des Sceaux assigne au civil le P-DG du groupe Barrière pour "reconnaissance de paternité".

Rachida Dati, a assigné Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtels Lucien Barrière, devant le tribunal civil de Paris pour "reconnaissance de paternité". Rachida Dati, a assigné Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtels Lucien Barrière, devant le tribunal civil de Paris pour "reconnaissance de paternité". © Witt / Sipa



C'est un mystère des dessous de la République qui risque d'être levé. Le Point.fr est en mesure de révéler que l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati a assigné Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtels Lucien Barrière, devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité". Une information confirmée par Dominique Desseigne lui-même, que le Point.fr a joint lundi soir par téléphone. "Je n'ai aucun commentaire à faire, sinon la justice me le reprocherait", s'est-il contenté de préciser.
Rachida Dati, actuelle maire UMP du 7e arrondissement de Paris, a toujours refusé de révéler le nom du père de sa fille Zohra, dont elle a accouché, le 2 janvier 2009, à la clinique de la Muette dans le 16e arrondissement de Paris. Un silence pour protéger sa vie privée qui a suscité les rumeurs les plus folles. Vedettes du show-biz, grands patrons du CAC 40, entraîneur de rugby, journalistes, animateurs télé..., la liste des noms du père supposé de sa fille parue dans la presse est longue. Mais de toutes les supputations, c'est sans conteste celle désignant l'ancien Premier ministre espagnol José María Aznar en personne qui a eu le plus de répercussions politiques, obligeant le personnage à démentir par un communiqué officiel cette paternité.

"Oui, j'ai un homme dans ma vie..."

Aujourd'hui, en assignant Dominique Desseigne, Rachida Dati donne elle-même l'identité de celui qui serait le père de sa fille Zohra. Le nom de Dominique Desseigne avait été déjà avancé par la presse. Mais selon un de ses proches, le P-DG a toujours nié être le père de cet enfant. La justice sera-t-elle contrainte de procéder à des tests de paternité pour savoir si Dominique Desseigne est bien le père ? Contactée ce matin par Le Point.fr, Rachida Dati dément nos informations.
Interviewée, début janvier, par le magazine Elle, Rachida Dati avait refusé de décliner l'identité du père "pour ne pas le gêner" et garder "une partie de [sa] vie intime". Elle poursuivait ainsi : "Oui, j'ai un homme dans ma vie et je le préserve plus que tout..."

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