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dimanche 16 décembre 2012

16122012 QUOI DE NEUF ?

HUMOUR...... ENCORE QUE

 

 

Dix affiches amusantes en faveur du 

 

 

POLITIQUE

 

Washington : Obama aurait choisi Kerry pour succéder à Clinton


Le retrait de Susan Rice ouvre la voie à la nomination de l'ancien candidat à la présidentielle John Kerry pour devenir secrétaire d'Etat.
Le retrait de Susan Rice ouvre la voie à la nomination de l'ancien candidat à la présidentielle John Kerry pour devenir secrétaire d'Etat.
| AFP/Alex Wong

Le des Etats-Unis a choisi le sénateur pour prendre la succession de Hillary Clinton au poste de secrétaire d'Etat, ont annoncé samedi soir les chaînes de télévision CNN et ABC.

CNN cite un «démocrate ayant parlé à M. Kerry» à l'appui de son information, tandis qu'ABC évoque des «sources» non identifiées. Sollicitée par l'AFP, la Maison Blanche n'a pas confirmé.

L'actuel sénateur du Massachusetts, candidat malheureux à la présidence américaine en 2004 contre George W. Bush, John Kerry, héros décoré du Vietnam avant de devenir militant anti-guerre, vient d'avoir 69 ans.

Chef depuis quatre ans de la puissante commission des Affaires étrangères du Sénat où il a succédé à l'actuel vice-président Joe Biden, il est considéré comme le favori pour prendre la tête de la diplomatie de la première puissance mondiale depuis l'annonce cette semaine par l'ambassadrice à l'ONU Susan Rice qu'elle renonçait à briguer ce poste.

Susan Rice, pas assez consensuelle

Proche de Barack Obama, Susan Rice avait été visée par des critiques acerbes d'élus républicains pour ses prises de position après l'attentat de Benghazi (Libye) qui avait coûté la vie le 11 septembre dernier à quatre Américains, dont l'ambassadeur Christopher Stevens. Elle avait affirmé le 16 septembre sur des télévisions que cette attaque n'était «pas forcément un attentat terroriste», mais résultait plutôt d'une «manifestation spontanée ayant dégénéré». Depuis, l'administration a reconnu que l'attaque avait été planifiée.

Les élus soupçonnaient Susan Rice et la Maison Blanche d'avoir délibérément cherché à tromper les Américains sur le caractère terroriste de cette attaque, pour ne pas ternir le bilan du président américain quelques semaines avant l'élection présidentielle. D'influents parlementaires, à l'instar des sénateurs John McCain et Lindsey Graham ont pu bloquer la nomination de Susan Rice.

Les nominations aux postes gouvernementaux américains sont en effet soumises à la confirmation du Sénat, chambre où les alliés démocrates de Barack Obama disposent d'une majorité simple, mais pas de la majorité qualifiée nécessaire pour bloquer une obstruction éventuelle de l'opposition.

A ce titre, John Kerry, avec sa longue expérience au Capitole, est considéré comme un candidat bien plus consensuel que Susan Rice à la succession de Hillary Clinton. Cette dernière, après quatre années passées à diriger la diplomatie américaine à un rythme effréné, a dit vouloir prendre du champ, même si son nom est sur toutes les lèvres à Washington pour une éventuelle candidature à la présidentielle de 2016.


LeParisien.fr








Japon : Shinzo Abe provoque déjà la Chine

Au large des îles Senkaku le 19 août 2012.
Au large des îles Senkaku le 19 août 2012. (Photo Reuters)

Fort de la victoire de son parti aux législatives ce dimanche, le probable prochain Premier ministre japonais a averti Pékin que les îles Senkaku appartenaient au Japon.

Libération
Le probable prochain Premier ministre japonais Shinzo Abe, dont le parti conservateur (PLD) a remporté dimanche une victoire écrasante aux législatives, a rapidement averti la Chine que les îles Senkaku revendiquées fortement par Pékin appartenaient au Japon.
«La Chine conteste le fait que (ces îles) sont une partie inhérente du territoire japonais. Notre objectif est de mettre fin à cette revendication», a déclaré M. Abe à la télévision privée NTV peu après l’annonce de la victoire attendue de son parti.
«Nous n’avons pas l’intention de détériorer les relations entre le Japon et la Chine», a toutefois tenu à ajouter Shinzo Abe, réputé être un «faucon» en matière de politique étrangère.
Le différend territorial entre Tokyo et Pékin n’a fait que s’envenimer depuis septembre après la nationalisation par le Japon du petit archipel des Senkaku en mer de Chine orientale, racheté à un propriétaire privé nippon. Pékin le revendique sous le nom de Diaoyu.
Des manifestations antijaponaises, parfois violentes, avaient alors eu lieu pendant une semaine dans de nombreuses villes chinoises avant que Pékin n’y mette le holà.
Jeudi dernier, la crise est montée d’un cran avec le survol de cet archipel par un avion gouvernemental chinois, dénoncé par le Japon comme la première violation de son espace aérien depuis l’aggravation du conflit.
Les autorités nippones avaient dénoncé ce survol jugé «extrêmement regrettable» et immédiatement fait décoller des chasseurs F-15.
Depuis l’aggravation du conflit en septembre, des navires chinois de surveillance maritime et de l’administration des pêches croisent en outre quasiment tous les jours à proximité ou dans les eaux territoriales des îles Senkaku.
Avant même l’annonce des résultats des élections japonaises, l’agence de presse officielle chinoise Chine nouvelle avait conseillé dimanche aux Japonais d'écarter les partis politiques prônant la fermeté dans les contentieux territoriaux sino-japonais.
Dans un commentaire, Chine nouvelle conseille aux vainqueurs, quels qu’ils soient, «de concevoir leur politique étrangère avec une perspective pragmatique et à long terme» permettant au Japon «d’apaiser ses relations tendues avec ses voisins».
L’agence dit s’inquiéter de «messages troublants» de formations plaidant pour l’intransigeance à l'égard de Pékin.
«Ces politiques, si elles étaient mises en oeuvre, dégraderaient davantage les relations du Japon avec ses voisins et aiguiseraient les risques politiques et militaires dans la région», souligne-t-elle.
En septembre dernier, le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta, de passage à Tokyo, avait averti que les conflits territoriaux actuels en Asie, notamment entre la Chine et plusieurs pays de la région, pourraient déclencher une guerre si les gouvernements concernés continuent «leurs provocations».

(AFP)









Egypte: les islamistes revendiquent la victoire au référendum
LE CAIRE — Une petite majorité d'Egyptiens a approuvé un projet de Constitution controversé défendu par le président Mohamed Morsi et ses partisans à l'issue du premier tour d'un référendum, ont indiqué dimanche les islamistes et un groupe d'opposition, citant des résultats non officiels.
Le vote qui a eu lieu samedi dans dix gouvernorats dont Le Caire et Alexandrie et se poursuit le 22 décembre dans les 17 autres, s'est tenu après des semaines de manifestations rivales ayant parfois dégénéré en violences meurtrières.
L'opposition, qui exigeait l'annulation du référendum, a finalement appelé à voter "non".
Les résultats non officiels du premier tour, basés sur des comptages fournis par des responsables de bureaux de vote, sont loin de la victoire écrasante espérée par les islamistes pour faire taire une opposition offensive et récompenser le pari de M. Morsi de faire passer le projet de loi fondamentale en toute hâte.
Dimanche matin, le Parti de la Liberté et de la Justice (PLJ) de M. Morsi a indiqué sur son site internet que 56,5% des électeurs avaient voté pour la Constitution.
La presse égyptienne a également fait état d'une victoire du "oui".
La principale coalition de l'opposition, le Front du salut national (FSN), avait annoncé samedi soir après la fermeture des bureaux de vote que près des deux tiers des votants avaient rejeté le texte rédigé par une commission dominée par les islamistes.
Mais l'une des principales composantes de la coalition, le mouvement du Courant populaire, a indiqué dimanche matin sur sa page officielle Facebook qu'environ 56% des électeurs avaient approuvé le texte.
Des violences entre partisans et adversaires du texte ont eu lieu au Caire et dans la grande ville d'Alexandrie au cours des dernières 48 heures. Samedi soir, la police a repoussé une attaque contre le siège du parti libéral Al-Wafd dans la capitale.
Selon les résultats préliminaires, une majorité a voté contre la Constitution au Caire, bastion de l'opposition.
L'opposition laïque, de gauche et libérale dénonce un texte adopté par une commission dominée par les islamistes, qui ouvre selon elle la voie à des interprétations rigoristes de l'islam et offre peu de garanties pour certaines libertés.
Pour le camp du "oui", l'adoption du texte doterait le pays d'un cadre institutionnel stable après la transition tumultueuse qui a suivi la chute de Hosni Moubarak en février 2011.
Mais les semaines précédant le vote ont été marquées par une grave grise politique qui a divisé le pays, et pour beaucoup d'Egyptiens le référendum s'est transformé en vote pour ou contre la puissante confrérie des Frères musulmans, dont le président est issu.
Les Frères musulmans et leur parti ont mis leur base militante en action pour la campagne, en défendant la "stabilité" et la "légitimité".
"La Constitution n'est pas parfaite (...), mais c'est un pas vers la démocratie", a dit à l'AFP une jeune électrice qui n'a pas souhaité s'identifier.
"Il y a beaucoup de choses dans la Constitution sur lesquelles les gens ne sont pas d'accord, et pas seulement les articles sur la religion", a au contraire dit Sally Rafid, 28 ans.
Des organisations internationales de défense des droits de l'Homme, les Etats-Unis et l'Union européenne ont exprimé des réserves sur le projet de loi fondamentale en raison de formulations pouvant être utilisées pour limiter les droits de l'Homme.
Quel que soit le résultat, "des dégâts durables pour la civilité de la politique égyptienne seront le principal résultat du chemin sur lequel Morsi a mis l'Egypte", a estimé Issandr El Amrani, dans une analyse pour le European Council on Foreign Relations.
"Si le non l'emporte, la présidence de Morsi aura été entièrement discréditée et la pression pour sa démission ne fera qu'augmenter. Si le oui l'emporte, le mouvement de protestation ne cessera probablement pas, (et) et pourrait se radicaliser", a-t-il ajouté.
L'opposition a accusé les Frères musulmans de chercher à "truquer" le référendum, et a prévenu qu'elle ne reconnaîtrait les résultats que si le vote se déroulait dans la transparence.








Syrie : l'armée bombarde un camp palestinien à Damas

Le Monde.fr avec AFP
Au moins huit civils ont été tués , dimanche 16 décembre, dans un raid de l'aviation syrienne sur le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, situé dans le sud de la capitale, Damas, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). C'est la première fois que ce camp est bombardé en 21 mois de conflit.
L'Observatoire, basé à Londres et qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins civils et militaires à travers la Syrie, a précisé que ce bilan pourrait augmenter car de nombreux blessés se trouvaient dans un état critique. Des habitants du camp ont affirmé à l'AFP qu'un missile était tombé sur la mosquée Abdel Qader Husseini, qui abrite près de 600 déplacés venus des quartiers voisins de Tadamoun, Avenue Palestine et Hajar al-Aswad, gagnés par les violences. "Il y a beaucoup de victimes", a affirmé Issam, un employé.
Plus tôt dans la matinée, une fillette de moins de deux ans et une femme avaient été tuées et plusieurs personnes blessées par le tir d'un obus sur Yarmouk, selon l'OSDH. L'ONG a ajouté que l'armée avait également bombardé les secteurs entourant le camp dans le sud de la capitale, menant au total six raids aériens sur le quartier voisin de Assali, ainsi que sur Hajar al-Aswad, à la lisière sud de Damas, et y faisant des blessés. "L'armée cherche à accentuer ses efforts pour écraser la rébellion dans le sud de Damas, et elle ne peut le faire sans recourir à son aviation", a expliqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Selon lui, les Palestiniens sont divisés sur la question du conflit en Syrie, certains ayant même pris les armes, une partie aux côtés des rebelles et d'autres avec les forces pro-régime. De fait, des combats entre rebelles et des combattants armés palestiniens du Front populaire de Libération de la Palestine d'Ahmad Jibril (FPLP-CG) se poursuivaient à Hajar al-Aswad et aux abords de Yarmouk.
Yarmouk abritait 150 000 réfugiés avant que les violences ne le gagnent ces derniers mois. Si de nombreux Palestiniens l'ont fui, des familles de déplacés des quartiers voisins y ont désormais trouvé refuge. Selon les chiffres de l'UNRWA, quelque 520 000 Palestiniens vivent en Syrie, dont 400 000 dans Damas et sa région.









UMP: Copé prêt à un nouveau vote en "septembre 2013"

Après des semaines de crise à l'UMP Jean-François Copé se dit prêt à un nouveau vote en septembre 2013, "par souci d'apaisement".


A.K. avec AFP 

 Jean-François Copé se dit prêt à avancer la date d'un nouveau vote à l'UMP. (Bertrand Guay - AFP)
Jean-François Copé se dit prêt à avancer la date d'un nouveau vote à l'UMP. (Bertrand Guay - AFP)

La crise de l'UMP pourrait-elle trouver une fin ? Jean-François Copé se dit dimanche prêt à un nouveau vote des militants en septembre 2013 "par souci d'apaisement".

"Dans un souci d'apaisement, Jean-François Copé est d'accord pour organiser une nouvelle élection en septembre 2013. C'est une date à mi-chemin entre mars 2013, comme le voulait initialement François Fillon, et mars 2014, comme l'avait proposé Jean-François Copé", a-t-on ajouté.

>> Week-end de tractations à l'UMP

La dissolution du R-UMP dans la balance

L'accord global auquel est prêt Jean-François Copé, souligne ce proche, doit aussi inclure l'abandon du "référendum" des parlementaires, programmé mardi, et la dissolution du groupe dissident R-UMP.

Une déclaration qui intervient alors que le chaos règne dans le parti depuis quasiment un mois, François Fillon et Jean-François Copé n'arrivant pas à s'accorder sur la date d'un nouveau vote.










ECONOMIE

 

ILFC, le géant de la location d'avions, devient chinois

Un groupe d'investisseurs chinois vient d'acheter ILFC, l'un des leaders mondiaux de la location d'avions, à son propriétaire AIG. L'opération valorise ILFC à 5,28 milliards de dollars. Mais elle pourrait considérablement changer la donne mondiale : et si ILFC ne commandait plus d'Airbus et de Boeing mais seulement des avions chinois...


© ILFC
Très progressivement, la Chine est en train de conquérir l'ensemble du secteur aéronautique. Le dernier épisode en date, en début de semaine, passé inaperçu, à l'exception de quelques articles dans la presse économique, concerne l'américain ILFC, le plus gros loueur d'avions au monde. Il faut savoir que deux avions de ligne sur trois, ne sont pas la propriété des compagnies aériennes, mais sont loués à des sociétés spécialisées.
Les plus connues sont ILFC, GECAS, ALC et ALAFCO. Ces sociétés ont acheté ou achètent des appareils par centaines à Airbus, Boeing, Bombardier, ou Embraer.  Ainsi, ILFC, propriétaire de plus d'un millier d'avions, est aujourd'hui et de très loin, le premier client d'Airbus et de Boeing. Plus de 22% du carnet de commandes du constructeur européen provient d'ILFC.
En achetant, ces appareils, en grande quantité, ces loueurs bénéficient de prix très intéressants auprès des constructeurs. Ils vont ensuite, relouer ces appareils à des compagnies qui n'ont pas la force de frappe pour négocier face aux avionneurs ou aux banques, ou des compagnies, qui préfèrent cette solution plus souple, plus flexible, pour moduler la taille de la flotte en fonction du marché et de sa croissance.
Souvent, les grandes compagnies, comme Air France, d'ailleurs, achètent l'avion au constructeur qu'elles revendent ensuite au loueur, ce qui leur permet de diminuer leurs investissements. Outre leur métier de base, ces sociétés de location sont aussi des partenaires financiers cruciaux pour les compagnies.

Les sommes en jeu sont considérables

A titre d'exemple, un Boeing 737 ou un Airbus A320 se loue environ 200 000 dollars par mois, et ce n'est que le bas de l'échelle. C'est beaucoup plus cher, pour les longs courriesr. Il faut compter entre de 500 000 et 900 000 dollars un Airbus A330, près 1,3 million de dollars pour un Boeing 777 300 ER, dont le prix catalogue à l'achat est de 315 dollars. En général, les contrats sont signés pour trois ou quatre ans.
Ce business model est proche de celui des loueurs d'automobiles. Mais les loueurs d'avions pèsent bien plus lourds qu'un Hertz ou un Avis. Ils ont quasi droit de vie ou de mort sur les nouveaux programmes. C'est une remarque cinglante du fondateur d'ILFC, qui a contraint Airbus, il y a quelques années, à revoir la définition du futur A350.
Basée à Los Angeles, ILFC est dirigé aujourd'hui par un Français, Henri Courpron, un ancien haut dirigeant d'Airbus, justement. La société compte 200 clients dans 80 pays, environ 550 salariés et appartenait jusqu'à présent à l'assureur américain AIG (American International Group). La  vente  de 80%  d'ILFC, à un consortium chinois, signe la fin de l'activité d'AIG dans un métier où il était entré en 1973 avec Steven Udvar-Hazy, le célèbre inventeur du concept. Mais ces dernières années, touché de plein fouet, par la crise des "subprimes" l'assureur américain, a perdu énormément d'argent au bord de la faillite en 2008.

Cette vente pourrait considérablement changer la donne mondiale

Gros clients des constructeurs occidentaux, la Chine assemble des A320 à Tianjin dans le cadre d'un partenariat avec Airbus. Mais elle ambitionne aussi et surtout de devenir un grand de l'aéronautique. Son constructeur Comac a développé le C 919, futur rival des A 320 et 737.
Et les Chinois entendent  bien à terme aligner un appareil dans tous les segments du marché. Le risque serait donc de voir ILFC ne plus commander d'Airbus et de Boeing mais seulement des avions chinois tout en usant de son pouvoir de nuisance pour contrarier les programmes futurs des deux avionneurs.  Un dirigisme latent, qui n'effraie pas, Airbus et Boeing et auquel personne ne veut croire aujourd'hui.
L'autre risque, c'est de voir les loyers augmenter. En Chine, ILFC détient 30% du marché de la location d'avions. Cette demande, va fortement augmenter au cours des prochaines années. Et l'on peut aussi se demander, si ILFC ne sera pas jouer la préférence nationale. Beaucoup d'interrogations autour de cette vente, qui constitue,  aujourd' la plus importante acquisition pour des capitaux chinois aux États-Unis.










DIVERS

 

Gérard Depardieu rend son passeport français et demande à être "respecté"

Le Monde.fr
L'acteur Gérard Depardieu dans le film "Mammuth" de Gustave Kervern et Benoît Delépine. 
L'acteur Gérard Depardieu dans le film "Mammuth" de Gustave Kervern et Benoît Delépine. | © Ad Vitam
Le clash entre Gérard Depardieu et le gouvernement prend un nouveau tour, dimanche 16 décembre, avec la publication d'une lettre de l'acteur dans Le Journal du dimanche s'adressant à Jean-Marc Ayrault.
"Minable, vous avez dit "minable" ? Comme c'est minable !", commence la missive, reprenant les termes du premier ministre qui avait qualifié de la sorte le départ de Gérard Depardieu pour la ville de Néchin en Belgique, pour des raisons essentiellement fiscales (la ville est connue pour abriter de riches expatriés).
Gérard Depardieu, s'estimant "injurié" après les nombreuses critiques dont il a fait l'objet, réplique en annonçant : "je vous rends mon passeport et ma Sécurité sociale dont je ne me suis jamais servi. Nous n'avons plus la même patrie, je suis un vrai Européen, un citoyen du monde, comme mon père me l'a toujours inculqué."

L'annonce de son expatriation en Belgique avait fortement agacé à gauche, le député PS du Cher, Yann Galutayant notamment évoqué dans ce cadre la possibilité d'une loi pour déchoir les exilés fiscaux de la nationalité française.

"Je ne demande pas à être approuvé, je pourrais au moins être respecté ! Tous ceux qui ont quitté la France n'ont pas été injuriés comme je le suis", continue l'acteur, qui rappelle avoir "toujours payé (ses) taxes et impôts" et commencé à travailler "à 14 ans comme imprimeur, comme manutentionnaire puis comme artiste dramatique".
"Je pars après avoir payé en 2012 85 % d'impôt sur mes revenus. (...) Qui êtes-vous pour me juger ainsi, je vous le demande Monsieur Ayrault, premier ministre de Monsieur Hollande, je vous le demande, qui êtes-vous ? Je n'ai jamais tué personne, je ne pense pas avoir démérité, j'ai payé 145 millions d'euros d'impôts en 45 ans, je fais travailler 80 personnes (...) Je ne suis ni à plaindre ni à vanter, mais je refuse le mot "minable", insiste-t-il.
"Malgré mes excès, mon appétit et mon amour de la vie, je suis un être libre, Monsieur, et je vais rester poli", conclut le texte.

Lettre ouverte de Gérard Depardieu au premier ministre français dans Le Journal du Dimanche publié aujourd'hui... pic.twitter.com/Sc0xDPEj









SOCIETE

 

En manque de slogans pour la manifestation pro-mariage pour tous qui se tient aujourd’hui à Paris ? En voici cinq, piochés sur le site Affiches pour tous.



Sur leur site Affiches pour tous, repéré par Liberation.fr, deux graphistes, Florent Guerlain et Gaetan Duchateau, l’un gay l’autre hétéro, proposent des affiches aux couleurs vives barrées de slogans drôles et décalés qui font souvent mouche. Les internautes qui soutiennent le projet de loi sur le mariage et l’adoption pour tous sont invités à les imprimer et les accrocher sur un support pour défiler avec lors des manifs de soutien au projet de loi. Des propositions de slogans pouvaient également être soumises aux deux graphistes en vue de les intégrer à une affiche. Voici nos cinq slogans préférés :
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