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jeudi 6 décembre 2012

06122012 QUOI DE NEUF ?

DIVERS


Take Five morceau le plus connu du jazzman Dave Brubeck décédé ce jour à 92 ans

http://www.youtube.com/watch?v=SVGotpIxkGU

 


Niemeyer, l'architecte qui aimait les courbes



 

POLITIQUE

 

Egypte: l'armée déploie des chars devant le palais présidentiel

 

Cinq manifestants ont été tués dans la nuit de mercredi à jeudi dans des affrontements entre opposants et partisans du chef de l'Etat Mohamed Morsi, les pires violences depuis l'élection du premier président islamiste d'Egypte qui a divisé le pays en renforçant ses pouvoirs.
(c) Afp

Cinq manifestants ont été tués dans la nuit de mercredi à jeudi dans des affrontements entre opposants et partisans du chef de l'Etat Mohamed Morsi, les pires violences depuis l'élection du premier président islamiste d'Egypte qui a divisé le pays en renforçant ses pouvoirs. (c) Afp

LE CAIRE (AFP) - L'armée égyptienne a déployé plusieurs chars devant le palais présidentiel au Caire après des heurts nocturnes entre partisans et adversaires du président Mohamed Morsi qui ont fait au moins cinq morts, a constaté jeudi un journaliste de l'AFP.
Au moins trois chars lourds et trois blindés légers ont pris position près de l'entrée du complexe présidentiel et sur une grande avenue qui le longe, dans le quartier d'Héliopolis, où des centaines de partisans du président étaient présents en début de matinée.








Syrie: périphérie de Damas pilonnée, des bombes chargées de gaz sarin, selon NBC

Une rue d'Alep détruite par les bombardements de l'armée syrienne, le 30 septembre 2012
Une rue d'Alep détruite par les bombardements de l'armée syrienne, le 30 septembre 2012 (Photo Miguel Medina. AFP)


Libération
L'artillerie et l'aviation syriennes ont bombardé mercredi la périphérie de Damas où de violents combats continuaient d'opposer soldats et rebelles, tandis que la chaîne américaine NBC a affirmé que des bombes destinées à être larguées avaient été chargées avec du gaz sarin.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a appelé toutes les parties à arrêter "immédiatement" les combats et a de nouveau écrit au président Bachar al-Assad pour l'avertir que l'utilisation d'armes chimiques serait un "crime scandaleux aux conséquences désastreuses".
L'OTAN et des pays occidentaux ont jugé inacceptable la perspective de voir le régime Assad utiliser ses armes chimiques contre la rébellion, après qu'un responsable américain a affirmé lundi que Damas mélangeait les composants nécessaires à la militarisation du gaz sarin, un neurotoxique mortel.
Selon la chaîne américaine NBC citant "des responsables américains" s'exprimant sous couvert d'anonymat, l'armée syrienne a chargé avec du gaz sarin des bombes destinées à être larguées par avion. A ce stade, les "bidons" chargés des précurseurs de ce neurotoxique mortel n'ont pas été fixés sous les ailes des appareils et le président syrien n'a pas donné l'ordre d'y recourir, ajoute NBC.
Face à la poursuite de l'escalade, la Hongrie a fermé son ambassade à Damas et évacué ses diplomates.
Dans le nord de la Syrie, le consul honoraire du Maroc à Alep, Mohamed Alaeddine Kiyali, a été tué mardi soir par des "hommes armés" alors qu'il sortait d'un hôtel en compagnie de certains de ses amis, a annoncé l'agence marocaine MAP, précisant que l'attaque avait fait un deuxième mort.
La banlieue de Damas est désormais au coeur des combats, le régime ayant lancé il y a près d'une semaine une opération militaire pour reconquérir un rayon de huit kilomètres autour la capitale, qu'il veut à tout prix conserver pour être en position de négocier une issue au conflit, selon les experts.
Le journal officiel Al-Watan a rapporté que "l'armée a continué de poursuivre les groupes armés aux abords de la route de l'aéroport international (...) tuant et blessant des dizaines de terroristes", terme par lequel Damas désigne les rebelles.
Dans la province d'Idleb (nord-ouest), les attaques meurtrières se sont poursuivies contre l'armée alors que dans la province de Raqa (nord), pilonnée par l'aviation, le vice-gouverneur et huit membres de son bureau ont démissionné pour protester contre les ingérences des renseignement dans leur travail, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Sur la côte, deux navires de guerre russes sont arrivés au port de Tartous pour se ravitailler dans cette seule implantation navale russe en Méditerranée, selon l'état-major russe.
Moscou est un grand allié de Damas, qui lui fournit également des armes.
Concernant l'arsenal syrien, la Turquie, où l'Otan va déployer prochainement des Patriot, a affirmé que Damas disposait d'environ 700 missiles sol-sol de différentes portées, assurant en connaître précisément les emplacements.
Avec la volonté d'aider davantage l'opposition au régime de Damas, Washington a annoncé la présence de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton à la réunion internationale des "Amis du peuple syrien" le 12 décembre à Marrakech.
A la frontière est du pays, un nouvel obus de mortier tiré à partir du territoire syrien s'est abattu par erreur sur la partie du plateau du Golan occupée par Israël, sans faire ni victime ni dégâts, selon l'armée israélienne.
Au Liban, très divisé sur le conflit qui déchire l'ancienne puissance tutélaire, sept personnes ont péri depuis mardi à Tripoli (nord) lors d'accrochages entre habitants alaouites, partisans de M. Assad, et sunnites hostiles à son régime, selon une source de la sécurité.
Ces violences ont éclaté après que l'armée syrienne a tué vendredi sur son sol 22 jeunes sunnites venus du Liban combattre aux côtés des rebelles. Damas a accepté de rapatrier leurs corps.
Au total, depuis le début en mars 2011 d'une révolte populaire devenue conflit armé face à la répression, plus de 41.000 personnes ont péri en Syrie, selon l'OSDH qui s'appuie sur un large réseau de médecins et de militants.
Mercredi, 75 personnes ont trouvé la mort en majorité des civils alors que des dizaines de personnes périssent tous les jours dans les violences








Ayrault assume sa décision sur Florange

Par Les Echos

Toute les options ont été étudiées mais nationaliser Florange aurait coûté plus de 1 milliard d'euros, a déclaré sur RTL le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui confirme le maintien au gouvernement du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg.

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault le 6 décembre sur RTL - DR
Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault le 6 décembre sur RTL - DR
Jean-Marc Ayrault, presque droit dans ses bottes ! Le Premier ministre a affirmé jeudi sur RTL, comme il l'avait fait la veille au soir sur France 2, qu'il assumait la décision prise sur le dossier Florange. « J'assume la décision qui a été prise » dans l'accord passé vendredi dernier avec ArcelorMittal, a-t-il déclaré, en guise de réponse aux syndicats de Florange qui se sont montrés critiques quant aux conditions de l'accord obtenu à l'arraché par le gouvernement avec le sidérurgiste indien. Sur le fond, toutes les options ont été « examinées », estime le Premier ministre, y compris une nationalisation temporaire qui aurait coûté aux contribuables « plus d'un milliard d'euros ».
Interrogé sur l'avenir du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, le promoteur de la nationalisation temporaire du site mosellan qui a été en partie désavoué par l'arbitrage final sur ce dossier, Jean-Marc Ayrault a été clair : Montebourg est  au gouvernement, « il y reste ».
A propos de Jérôme Cahuzac, le ministre du Budget accusé par le site d'information Mediapart de détenir un compte en Suisse, Jean-Marc Ayrault affirme son soutien : « Moi j'ai toute confiance en Jérôme Cahuzac et j'imagine ce qu'il ressent en ce moment », a-t-il déclaré, rappelant l'intervention de ce dernier la veille devant l'Assemblée nationale : « Ce n'est pas n'importe où qu'il s'est exprimé ».

Assumer Flamanville

Assumer, c'est aussi la position du gouvernement à propos du chantier de l'EPR de Flamanville dans la Manche, dont EDF vient d'annoncer que la facture avait dérapé de 2 milliards d'euros pour atteindre 8,5 milliards d'euros, le Premier ministre a déclaré que le gouvernement ira jusqu'au bout « ira jusqu'au bout ». « Il y a des difficultés mais je pense qu'il faut assumer cela parce que (...) c'est nécessaire, » a-t-il ajouté. Le Premier ministre a fait valoir que ce chantier _ qui va va se terminer, puisqu'il doit être mis en service en 2016 _ était « un premier exemplaire », nécessitait que « des précautions (soient) prises (...) Et comme c'est un chantier qui dure plus longtemps que prévu, il y a l'actualisation des coûts ».
LES ECHOS








ECONOMIE

 

Florange : Ayrault en butte à la défiance syndicale

Le Premier ministre n'est pas parvenu a rassurer les syndicats.
Une nationalisation du site aurait coûté 600 millions d'euros à l'Etat.

L'explication a été « franche » et elle a débouché sur « un constat de désaccord ». Jean-Marc Ayrault qui a reçu hier en fin d'après-midi à Matignon, les représentants CFDT, CGT et FO des salariés de Florange, n'est pas parvenu à les rassurer sur le contenu de l'accord conclu avec ArcelorMital. Un contenu qu'il s'est aussi appliqué à expliquer aux Français lors du «  20 heures » de France 2. Une rareté s'agissant d'un plan concernant une seule entreprise. Une rareté à la mesure du poids symbolique pris par le site sidérurgique mosellan et de la fureur des syndicats, qui ont attendu cinq jours pour que l'accord leur soit communiqué. Une rareté à la mesure aussi de l'extrême tension entre le chef du gouvernement et son ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg.
A la sortie de la réunion de Matignon, la déception des syndicalistes était considérable : « Nous avons le sentiment d'avoir été trahis ; Madame Parisot a gagné », a déploré Edouard Martin, délégué CFDT à Florange. Les syndicats ont demandé, en vain, la renégociation de l'accord. Ils ont eu confirmation que la chauffe des deux hauts-fourneaux de Florange serait arrêtée en mars prochain (rendant leur redémarrage improbable). « Un casus belli », dixit Edouard Martin. Et sur les 180 millions d'investissement promis par le géant de l'acier, seuls 53 millions seront consacré avec certitude aux investissement stratégiques.

« Une coquille vide »

« Cet accord est une coquille vide », a martelé hier, le délégué FO Norbert Cima. « Nous voulons renforcer l'accord et imposer un échéancier pour les investissements », a abondé Edouard Martin, qui réclamait également que les 150 millions d'euros promis par le gouvernement pour le projet Ulcos d'acier peu émetteur de CO « soient utilisés dès à présent pour rénover les hauts-fourneaux ».
A défaut de répondre à ces revendications, le Premier ministre va créer une commission de suivi, chargée de veiller à ce que les engagements d'ArcelorMittal soient respectés, dirigée par le sous-préfet de Thionville, François Marzorati. Les effectifs de Pole emploi seront aussi « renforcés » afin de suivre les salariés des sous-traitants qui risquent le chômage.
Défendant le « compromis », désormais scellé avec le sidérurgiste, Jean-Marc Ayrault a insisté sur l'absence de plan social sur le site : « Beaucoup d'autres salariés en France, soumis aujourd'hui à des plans sociaux, voudraient bien en bénéficier. »

Faux espoirs

L'accord avec ArcelorMittal pose, depuis cinq jours, un sérieux problème politique à l'exécutif. La guerre est désormais ouverte entre Jean-Marc Ayrault et Arnaud Montebourg. Et le Premier ministre d'enfoncer le clou, hier : le repreneur identifié par le ministre du Redressement productif avait fait « une proposition financière insuffisante » et la nationalisation temporaire « aurait coûté 1 milliard d'euros, sans pour autant garantir l'emploi ». Une solution que l'Etat aurait dû financer à hauteur de 600 millions d'euros, selon Matignon.
Le malaise au sein du gouvernement embarrasse aussi les députés et les membres du gouvernement. « Jean-Marc devrait faire attention, sinon les blessures restent et cela peut être dévastateur », confie un ministre qui n'a « pas aimé » le traitement réservé à son collègue du Redressement productif.
Elsa Freyssenet, Les Echos
Sharon Wajsbrot, Les Echos










Les tarifs du gaz devraient augmenter de 2 à 3 % début 2013

Le Monde.fr avec AFP
La ministre de l'énergie, Delphine Batho, a fixé au 10 décembre l'annonce du mouvement tarifaire sur les prix du gaz. 
La ministre de l'énergie, Delphine Batho, a fixé au 10 décembre l'annonce du mouvement tarifaire sur les prix du gaz. | REUTERS/NIGEL RODDIS

Les tarifs réglementés du gaz de GDF Suez devraient augmenter "de 2 à 3 %" au 1er janvier pour prendre en compte le rattrapage de hausses qui n'ont pas été décidées auparavant, affirme Le Figaro mercredi 5 décembre au soir. C'est "ce qui ressort des récents échanges sur le sujet entre les pouvoirs publics, GDF Suez et la Commission de régulation de l'énergie (CRE)", mais "la mesure peut toutefois être arbitrée jusqu'au dernier moment par le gouvernement", écrit le quotidien sur son site internet.

Toujours selon le journal, la formule légale en vigueur indiquait une hausse de 0,8 % pour le premier trimestre, mais la hausse de 2 à 3 % prend en compte les hausses insuffisantes qu'avait arrêtées le gouvernement au 1er juillet et au 1er octobre. La CRE et GDF Suez n'étaient pas joignables mercredi soir. Egalement contacté par l'AFP, le gouvernement s'est refusé à commenter ces informations.
Le gouvernement vient d'être de nouveau désavoué par le Conseil d'Etat, qui a suspendu en référé la hausse limitée de 2 % au 1er octobre, qui ne respectait pas la formule en vigueur et portait préjudice aux concurrents de GDF Suez. Dans la foulée, la ministre de l'énergie, Delphine Batho, a fixé au 10 décembre l'annonce du mouvement tarifaire sur les prix du gaz. La ministre doit également dévoiler des mesures destinées à modifier le système actuel afin de le rendre en théorie plus favorable au consommateur.
Selon Le Figaro, Delphine Batho pourrait finalement choisir de simplement amender la formule de calcul et d'augmenter – de 26 % à 30 % – le poids des prix de marché au détriment de celui des contrats d'approvisionnement à long terme indexés sur les cours du pétrole.








Deutsche Bank aurait dissimulé 12 milliards de dollars de pertes

Le Monde.fr avec Reuters
"Les accusations de communication financière trompeuse, vieilles de plus de deux ans et demi et évoquées publiquement en juin 2011, ont fait l'objet d'investigation attentives et approfondies et elles sont totalement infondées", a déclaré une porte-parole du groupe allemand. 
"Les accusations de communication financière trompeuse, vieilles de plus de deux ans et demi et évoquées publiquement en juin 2011, ont fait l'objet d'investigation attentives et approfondies et elles sont totalement infondées", a déclaré une porte-parole du groupe allemand. | REUTERS/KAI PFAFFENBACH

Trois anciens salariés de Deutsche Bank ont engagé des procédures auprès des autorités financières américaines, accusant la banque d'avoir dissimulé 12 milliards de dollars (9,2 milliards d'euros) de pertes latentes pendant la crise financière, rapporte le Financial Times.

Ces plaintes, déposées entre autres auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC), accusent Deutsche Bank d'avoir volontairement sous-évalué une importante position à des produits dérivés connus sous l'appellation de "leveraged super senior trades", précise le quotidien, qui cite des sources proches du dossier.
L'article ajoute que cette évaluation erronée a permis à Deutsche Bank d'afficher une situation de bilan fausse et d'éviter un renflouement sur fonds publics.
"Les accusations de communication financière trompeuse, vieilles de plus de deux ans et demi et évoquées publiquement en juin 2011, ont fait l'objet d'investigation attentives et approfondies et elles sont totalement infondées", a déclaré Renee Calabro, une porte-parole du groupe allemand, dans un courrier électronique à Reuters. "Les valorisations et les publications financières étaient justes", assure-t-elle.

 

 

 

SOCIAL


Le taux de chômage approche de 10 % en métropole

Le Monde.fr avec AFP et Reuters
Le taux pour la France métropolitaine se situe à son plus haut niveau depuis le troisième trimestre 1999. 
Le taux pour la France métropolitaine se situe à son plus haut niveau depuis le troisième trimestre 1999. | AFP/FRED TANNEAU

Le taux de chômage en France a continué à augmenter au troisième trimestre 2012, de 0,1 point par rapport au trimestre précédent, pour atteindre 9,9 % de la population active en métropole et 10,3 % avec les départements d'outre-mer, annonce l'Insee jeudi.

L'Institut national des études statistiques, qui a révisé à la hausse (+ 0,1 point) les données du deuxième trimestre, considère désormais que 2,826 millions de personnes sont au chômage en France au sens des normes du Bureau international du travail (BIT).
Le taux pour la France métropolitaine se situe à son plus haut niveau depuis le troisième trimestre 1999. Plus généralement en France métropolitaine, 3,6 millions de personnes ne travaillent pas mais souhaitent travailler, qu'elles soient ou non disponibles dans les deux semaines pour travailler et qu'elles recherchent ou non un emploi, note l'Insee. Le taux d'emploi des 15-64 ans est stable à 63,9 %.
Le taux d'emploi en CDI augmente de 0,2 point et s'établit à 49,1 % de la population des 15-64 ans. Le taux d'emploi en CDD-intérim baisse de 0,1 point à 6,6 %.
L'Insee ne publie plus de taux de chômage mensuel depuis 2006, après une polémique sur sa méthode de calcul.
Selon les chiffres publiés fin novembre par le ministère du travail et Pôle emploi, le chômage a une nouvelle fois bondi au mois d'octobre, augmentant pour le 18e mois consécutif pour atteindre son plus haut niveau depuis 14 ans et demi.









Nouvelle hausse du chômage au troisième trimestre 2012

Taux de chômage

Le taux de chômage augmente de 0,1 point au troisième trimestre en France métropolitaine

En moyenne sur le troisième trimestre 2012, le taux de chômage au sens du BIT s’établit à 10,3 % de la population active en France (y compris Dom).
Pour la France métropolitaine, avec 2,8 millions de personnes au chômage, le taux de chômage s’élève à 9,9 %. Il est en hausse de 0,1 point par rapport au deuxième trimestre 2012 révisé, après une progression de 0,2 point par rapport au trimestre précédent.
Plus généralement en France métropolitaine, 3,6 millions de personnes ne travaillent pas mais souhaitent travailler, qu’elles soient ou non disponibles dans les deux semaines pour travailler et qu’elles recherchent ou non un emploi (cf. données sur internet).
Taux de chômage au sens du BIT
Taux de chômage au sens du BIT
Estimation à +/- 0,3 point près du taux de chômage
Estimation à +/- 0,3 point près de l'évolution du taux de chômage d’un trimestre à l’autre
France = France métropolitaine + Dom
Champ : population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
Source : Insee, enquête Emploi
Taux de chômage BIT en France métropolitaine
Données cvs, en moyenne trimestrielle - France métropolitaine
*(p) = provisoire
Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
Source : Insee, enquête Emploi
Taux de chômage BIT (%)Variation en points surMilliers
2012T22012T3 (p)*un trimestreun an2012T3 (p)*
Ensemble9,89,90,10,72 826
15-24 ans22,824,21,42,8671
25-49 ans9,08,9–0,10,51 623
50 ans ou plus6,86,90,10,4533
Hommes9,69,70,11,01 453
15-24 ans23,423,80,43,6365
25-49 ans8,68,60,00,8818
50 ans ou plus6,56,80,30,5271
Femmes10,010,00,00,31 373
15-24 ans22,024,62,61,8306
25-49 ans9,69,3–0,30,3805
50 ans ou plus7,17,0–0,10,2262

Emploi et activité au sens du BIT

Le taux d’emploi des 15–64 ans est stable au troisième trimestre 2012 et s’établit à 63,9 %.
Taux d'emploi en CDI et en CDD/intérim des 15-64 ans
Taux d'emploi en CDI et en CDD/intérim des 15-64 ans
Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 à 64 ans
Source : Insee, enquête Emploi
Le taux d’emploi en CDI augmente de 0,2 point au troisième trimestre 2012 et s’établit à 49,1 % de la population des 15-64 ans. Cette hausse est liée à la hausse du taux d’emploi des 50-64 ans, plus fréquemment en CDI que les classes d’âge plus jeunes.
Emploi, chômage et activité au sens du BIT dans la population des 15-64 ans
Données cvs, en moyenne trimestrielle - France métropolitaine
*(p) = provisoire
Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 à 64 ans
(1) Ces données portent sur la population en âge de travailler (15 à 64 ans), et diffèrent donc légèrement des données sur l'ensemble de la population fournies dans le tableau 1.
Source : Insee, enquête Emploi
En % de l'ensemble de la tranche d'âgeVariation en points sur unMilliers (1)
2012T22012T3 (p)*trimestrean2012T3 (p)*
Personnes en emploi (15-64 ans)63,963,90,00,125 564
Emploi en équivalent temps plein59,459,50,10,123 800
Hommes 15-64 ans67,968,00,1–0,213 381
Femmes 15-64 ans59,959,90,00,312 182
15-24 ans29,128,4–0,7–1,42 106
25-49 ans80,980,90,0–0,616 511
50-64 ans56,457,00,62,16 947
Dont : 55-64 ans43,744,91,23,23 598
Taux d'emploi sous-jacent 55-64 ans43,744,71,03,1
Chômeurs (15-64 ans)7,07,10,10,62 822
Hommes 15-64 ans7,27,40,20,91 451
Femmes 15-64 ans6,76,70,00,21 370
15-24 ans8,69,10,51,0671
25-49 ans8,08,00,00,51 623
50-64 ans4,24,30,10,4528
Dont : 55-64 ans3,43,50,10,5277
Personnes actives (15-64 ans)70,871,00,20,728 385
Hommes 15-64 ans75,275,40,20,714 833
Femmes 15-64 ans66,666,60,00,513 553
15-24 ans37,737,5–0,2–0,42 777
25-49 ans88,988,8–0,1–0,118 134
50-64 ans60,761,30,62,57 475
Dont : 55-64 ans47,148,31,23,63 875
Espérance apparente d'activité 55-64 ans (années)4,74,80,10,3
Le taux d’emploi en CDD/intérim baisse de 0,1 point et s’établit à 6,6 %.
Le taux d’emploi en équivalent temps plein des 15–64 ans est inférieur de plus de 4 points au taux d’emploi et s’établit à 59,5 % au troisième trimestre 2012.
Le taux d’activité des 15–64 ans progresse de 0,2 point et atteint 71,0 %.

Le sous-emploi baisse légèrement

Au troisième trimestre 2012, la part des personnes en situation de sous-emploi s’élève à 5,1 % des personnes en emploi, en baisse de 0,3 point. Au sein du sous-emploi, le chômage partiel concerne 0,3 % des personnes en emploi.
Le temps partiel subi baisse de 0,2 point et s’établit à 4,8 % des personnes en emploi (cf. données sur internet).
Sous-emploi au sens du BIT
Données cvs, en moyenne trimestrielle - France métropolitaine
*(p) = provisoire
Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
Source : Insee, enquête Emploi
Taux de sous-emploi BIT (%)Variation en points surMilliers
2012T22012T3 (p)*un trimestreun an2012T3 (p)*
Ensemble5,45,1–0,3–0,21 322
Dont : chômage technique ou partiel0,50,3–0,2–0,170
Femmes7,97,90,0–0,1962
Hommes3,02,7–0,3–0,2360

Révisions

Le taux de chômage du deuxième trimestre 2012 est révisé de 0,1 point à la hausse par rapport aux données provisoires publiées le 6 septembre 2012.










SOCIETE

 

Le Sénat autorise la recherche sur l'embryon et les cellules souches

BIOETHIQUE : Le Sénat a adopté, dans la nuit de mardi à mercredi, à une large majorité mais dans la plus grande discrétion, un texte qui autorise la recherche sur l'embryon et les cellules souches, relançant le débat sur la bioéthique. La proposition de loi du groupe RDSE (à majorité radicaux de gauche), appuyée par le gouvernement, prévoit de passer du régime actuel d'interdiction de la recherche sur l'embryon avec dérogation à une autorisation encadrée. Toute la gauche a voté pour, sauf cinq écologistes qui se sont abstenus. La droite UMP et UDI-UC s'est partagée. Seuls 59 UMP sur 131 et 10 centristes sur 32 ont voté contre. La recherche sur les cellules souches a été interdite lors de la révision de la loi sur la bioéthique, en 2004. Cette interdiction a été renouvelée en 2011 après une intense bataille parlementaire

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